Le directeur de la communication du FC Porto se défend contre l’aggravation des crimes qui lui ont été imputés
Francisco J. Marques a commenté ce mardi soir, à Porto Canal, la récente décision de la Cour concernant l’aggravation des crimes qui lui ont été attribués, comme Diogo Faria, dans le cadre de l’affaire des e-mails. Et il a mis fin à l’attaque : “Attendons tranquillement. Nous savons tous qui a commis des crimes. César Boaventura, Luís Filipe Vieira, Rui Costa, Domingos Soares Oliveira… ces crimes commis. Consacrez-vous à ceux-ci, ce sont les vrais criminels.”
Un peu plus tôt, le directeur de l’information et de la communication du FC Porto commençait ainsi : “Je ne me sens pas très à l’aise [para falar do tema], parce que je suis l’un des accusés. Mais je suis convaincu, nous le sommes tous, que nous devons être acquittés. Nous avons fait des révélations qui ont beaucoup aidé à découvrir ces choses. S’il y a eu ‘Affaire E-mole’, cette situation de César Boaventura, s’il y a eu toutes ces enquêtes par rapport à Benfica, elle doit beaucoup aux révélations qui ont été faites ici. Nous avons fait valoir devant les tribunaux qu’il y avait un intérêt public dans ces divulgations et nous nous battrons pour cela jusqu’au bout. Quoi qu’il arrive le 12 mai, cela continuera d’être discuté en appel. Nous ne commettons pas de crime, nous aidons, nous contribuons et nous avons toujours fourni aux autorités tout le matériel qui nous a été livré. Après, le reste n’a rien à voir avec nous. Ils sont venus parler d’intimité, d’offense à la personne collective à cause d’un livre. Un livre? Est-ce comme la Corée du Nord ? Le problème était la prescription, maintenant est-ce comme ça? Pourquoi allez-vous prescrire que ça s’aggrave ?”.
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