Haute définition
Le chanteur et musicien portugais Fernando Correia Marques est connu pour les succès musicaux populaires « O Burrito », « Carlitos, Carlitos » et « Sei Que Vou Sobreviver ». Grandir sans père et au Mozambique, un lieu de « grande liberté », lui a servi d’inspiration pour écrire ses paroles et définir sa carrière. Dans cette haute définition, il se souvient de la mort de ses parents et de ses premières années au Portugal, alors encore sous dictature.
L’année où il célèbre ses 45 ans de carrière et ses 70 ans de vie, le musicien Fernando Correia Marques est venu à Alta Definição pour parler avec Daniel Oliveira de son passé au Mozambique et de ses premières années de vie au Portugal, toujours sous la dictature. « J’ai vécu mon enfance dans une grande liberté ; Quand je suis arrivé au Portugal, ils m’ont dit de faire attention avec le PIDE et j’ai demandé… Qu’est-ce que c’est ? », se souvient-il. Une enfance sans père et les enseignements de son grand-père, avec qui il a travaillé pour la première fois à l’âge de neuf ans dans son salon de coiffure, ont été des moments fondamentaux pour la personne et l’artiste qu’il est devenu. « Je sentais que je devais être l’homme le plus fort du monde », dit-il, mais c’est ce qui lui a valu le succès « Sei Que Vou Sobreviver ». Plus tard, le choc de la mort de sa mère a également changé ses plans. « Il n’était pas nécessaire de me dire que ma mère était décédée. J’étais à un rassemblement en train de chanter sa chanson préférée et j’ai fondu en larmes”, se souvient-il. Apprenez-en davantage sur la vie du musicien avec ce podcast Haute Définition.
Entretiens intimes réalisés par Daniel Oliveira. Chaque semaine, un nouvel invité sur ‘Alta Definição’, un programme SIC. Écoutez plus d’épisodes.