Depuis le 8 juillet, le Contrepoint café-théâtre abrite l’exposition 24×36, par Amaury Cayron. Fraîchement sorti du lycée des métiers d’arts Toulouse-Lautrec à Bordeaux, il a découvert l’argentique sur la fin de ses études… “Et j’ai adoré ça !”.
À l’heure où les photos sont essentiellement prises au smartphone, l’appareil argentique pourrait ressembler à une relique… Pourtant, on en redécouvre le charme et l’aspect intemporel, comme si on commençait à se lasser du côté éphémère des photos prises avec le téléphone. Amaury préfère “la présence physique de l’appareil photo argentique. C’est génial ce truc : tu prends ta photo, et 15-16 ans plus tard, tu peux la ressortir et te prendre une vague de souvenirs dans la figure…”.
Ce sont ses souvenirs qui sont exposés sur les murs du Contrepoint. Bâtiments, paysages, voitures, messages…
Jusqu’au 6 août, la seule thématique qu’a voulue le jeune homme, c’est celle de la pellicule, format 24×36. Pour les photos, il a sélectionné des moments l’ayant marqué. Fred Waller, directeur artistique du Contrepoint, se réjouit : “L’argentique fait replonger les vieilles choses comme moi dans leur passé ! Et ce qui m’a plu dans ce projet d’expo, c’est qu’il n’y a aucune thématique. Quand on accepte de ne pas choisir un thème en particulier, c’est une façon de n’exclure personne, de rassembler”.
De son côté, Amaury souhaite que l’absence de thématique “fasse oublier le photographe. Sur mon compte Instagram, il n’y a aucune photo de moi. On aime l’art pour ce qu’il est, pas pour la personne qu’il y a derrière !”
Vous pourrez profiter des photos d’Amaury Cayron (et de sa boîte à souvenirs, avec appareil jetable) jusqu’au 6 août.
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