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État actuel de la progression : Comprendre pour être compris

État actuel de la progression : Comprendre pour être compris

2024-04-06 01:42:35

*Les quatre conditions étaient des textes constitutionnels du document de 2019 et les dispositions les plus importantes du programme du gouvernement de transition*
*Les progrès de (Liberté et Changement + Hamdok), étaient directement responsables de l’échec et de l’incapacité à mettre en œuvre l’un d’entre eux pendant deux ans de son règne*,
*La présence de la Milice de Soutien Rapide n’est plus acceptable et ne peut en aucun cas faire partie de l’armée soudanaise*

Le 15 mars 2024 après JC, et il y a seulement trois semaines, le Groupe central Liberté et Changement a publié une déclaration à la suite de réunions qui ont eu lieu au Caire, dans laquelle il a renouvelé sa demande de classer le Congrès national/Mouvement islamique comme groupe terroriste. , et hier, trois semaines après la première déclaration, le groupe a publié Après la démission de Nour El-Din Sati, (Liberté et Changement + Hamdok) a publié une déclaration depuis Addis-Abeba, dans laquelle il approuvait sa vision pour mettre fin à la guerre et reconstruire l’État soudanais. La déclaration déclare : « Les efforts visant à arrêter la guerre, à reconstruire et à établir un État civil et démocratique stable doivent être basés sur un processus. Une politique négociée qui n’exclut aucune faction politique à l’exception du Congrès national, du Mouvement islamique et de ses façades, et tous ceux qui ont soutenu et continuent de soutenir la guerre du 15 avril. Après avoir catégoriquement rejeté la participation du Parti du Congrès national dissous à tout processus politique, il a posé quatre conditions pour son acceptation dans ce même processus politique.
Il était indiqué dans un état des lieux : « La participation du Congrès national dissous à l’avenir du pays dépend de la réponse à un certain nombre de questions importantes et difficiles, que j’ai posées en quatre conditions : (Premièrement, le Congrès national acceptera-t-il de mettre fin à la guerre qu’il a déclenchée maintenant et immédiatement ? Et deuxièmement, le parti dissous renoncera-t-il à son pouvoir ? Dans les institutions publiques de l’État et en particulier dans ses agences militaires et de sécurité, qui représentent le noyau solide de son parti, et il accepte le démantèlement de ses milices pour devenir un parti politique normal qui rivalise avec les autres partis selon les règles de la pratique démocratique ? Et troisièmement, accepte-t-il la justice pour les victimes et les opprimés, et que les accusés soient traduits devant la justice locale ? Et quatrièmement, va-t-il restituer l’argent illégalement saisi en raison de l’autonomisation et de la corruption ?),
La distance est très grande entre justifier fermement le rejet de la participation du Congrès national/Mouvement islamique à tout processus politique et renoncer à cette position en fixant des conditions pour accepter la participation du Congrès national/Mouvement islamique au processus politique. Tout d’abord, le groupe Taqaddam est toujours considéré comme propriétaire du processus politique et c’est lui qui détermine ses partis et fixe les conditions de leur acceptation, et que fera-t-il si d’autres puissances proposent des conditions plus élevées que celles qu’elles ont fixées ? Comment le progrès agira-t-il, en supposant que la Conférence nationale/Mouvement islamique accepte ses conditions ? Enfin, comment la Conférence nationale/Mouvement islamique peut-elle répondre à ces conditions ? Est-ce que cela se fait en publiant une déclaration ? Ou par le dialogue ? Est-ce avant la participation au processus politique ou après ?
Bien que ces (questions importantes et difficiles), selon le communiqué, semblent naïves et ridicules d’exiger du Congrès national/Mouvement islamique (Est-il d’accord… Accepte-t-il… etc), pourtant si (Liberté et changement + Hamdok) le présente, vous savez très bien que ces quatre conditions étaient des dispositions constitutionnelles dans le document de 2019, et elles représentaient une partie du programme du gouvernement de transition, et elles étaient directement responsables de l’échec et de l’incapacité à mettre en œuvre l’une d’entre elles pendant le deux ans de son règne. La déclaration suivait le langage du «général» et n’était pas professionnelle. Elle était basée sur des bases faibles et perdue au milieu de justifications fragiles, ignorant les violations et les crimes de la milice de soutien rapide, répétant ce que le les faits sur le terrain ont dépassé, et rêver de construire et d’établir une armée nationale professionnelle à partir de toutes les forces militaires – les forces armées, les mouvements de soutien rapide et de lutte armée – ce sont des rêves et des illusions qui ne se réaliseront pas même si (l’alternative est une solution insensée) (Maudite guerre). La présence de la milice de soutien rapide n’est plus acceptable et ne peut en aucun cas faire partie de l’armée soudanaise. Quand aurez-vous un sens ?
5 avril 2024 après JC

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