C’est une nouvelle ère pour le monde de la Formule 1, avec certains des plus grands changements observés dans le sport en quatre décennies, bouleversant non seulement le statu quo, mais aussi la colonne vertébrale des pilotes alors que les équipes luttent pour maîtriser les caprices d’ingénierie de ce voitures neuves de l’année. Codemasters a emboîté le pas avec F1 22, s’arrêtant avant d’infuser le phénomène de marsouinage de cette saison dans son modèle de maniabilité, mais bricolant juste assez avec son coureur annuel fiable et robuste pour qu’il se sente suffisamment rafraîchi dans un certain nombre de bons domaines – même si le Le package global est forcément assez familier pour les fans de retour.
Rassurez-vous, là est plus à F1 22 qu’une simple écurie des dernières voitures et du nouveau circuit de Miami. Visuellement, il fait du surplace cette année, mais de petites touches, comme de nouveaux clips soignés d’après-course des voitures usées par la bataille et des angles de caméra mis à jour sur les anciennes célébrations du podium, rajeunissent légèrement les parties de la série Codemasters F1 qui stagnent depuis de nombreuses années. La nouvelle voix de l’ingénieur de course et la possibilité de remplacer le commentateur David Croft par Alex Jacques aident également à différencier F1 22 des précédents jeux de F1, qui se sentent de plus en plus recyclés dans ce département. Un nouveau mode IA adaptatif rejoint la liste standard et déjà énorme d’aides à la conduite et d’options d’accessibilité, et semble garder le peloton à portée de main des coureurs moins expérimentés. Cela devrait rendre les courses plus excitantes, quelle que soit leur compétence. J’ai regardé mon enfant de huit ans s’en sortir avec l’IA adaptative et même si je ne peux pas tout à fait observer toute la différence entre les deux niveaux disponibles, cela a semblé le garder dans la chasse sans faire basculer entièrement l’IA.
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Des puces plus importantes, comme l’inclusion bienvenue du format de course de sprint F1 et la prise en charge de la réalité virtuelle pour les joueurs PC, sont évidemment plus difficiles à manquer. La série F1 est assez en retard sur la table en ce qui concerne le support VR, donc je pense qu’il est peu probable que les vétérans d’autres jeux de course VR existants soient séduits de la même manière que nous l’étions il y a quelques années – mais la valeur de nouveauté de l’avoir disponible dans la série officielle F1 est très forte. Avec son dévouement à reproduire les détails de la réalité – du paddock à la piste – la série F1 est une recréation merveilleusement immersive du premier sport automobile mondial depuis un certain temps. En faire l’expérience à travers un objectif VR l’est doublement.
Cependant, non tous nouvelle fonctionnalité de F1 22 gagne une place sur le podium.
Pad Toys pour la vie
Avec Codemasters confirmant plus tôt cette année que d’autres tranches du mode histoire « Braking Point » qu’il a introduit dans F1 2021 sont sur une cadence de deux ans, F1 22 le fait ne pas incluez le prochain chapitre de la version aérographe mais sérieuse du studio sur un conte de fées fictif et en coulisses de la F1. À sa place se trouve F1 Life, un mode axé sur le style de vie axé sur la personnalisation de la tenue et des espaces de vie de votre pilote F1, mais il semble si insipide qu’il ne représente en grande partie qu’un arrière-plan monétisable pour les écrans du menu principal.
F1 22 met l’accent sur ce nouveau mode en vous lançant directement dans le bricolage avec les paramètres par défaut de F1 Life lors du premier lancement. La bonne chose à ce sujet est qu’après… cela peut être entièrement ignoré, et cela ne diminue finalement en rien l’expérience de course généralement robuste qui l’entoure. Au mieux, F1 Life semble être un fourre-tout pour justifier un flux constant de récompenses pour votre temps de jeu, seules ces récompenses ne sont souvent que des meubles et des carreaux de sol. Au pire, c’est un mécanisme qui est là pour secouer la monnaie des personnes prêtes à donner quelques dollars pour un bijou cosmétique. D’autres joueurs peuvent visiter votre espace, mais je ne comprends pas vraiment pourquoi ils voudraient le faire. C’est probablement un triste signe des temps que, alors que les précédents jeux de F1 présentaient des voitures emblématiques de l’histoire du sport, F1 22 propose un vaste ensemble de… tapis, salons et lampes de créateurs. Personne n’a été enthousiasmé par une lampe depuis que Jafar a joué à l’arrière pour Agrabah.
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En théorie, je comprends le désir de capturer un avant-goût de ce luxe lucratif et hors piste que les superstars de la F1 réelles peuvent apprécier – et, oui, je a fait être momentanément distrait par la table basse V6 – mais je ne sais pas si l’ajout d’une décoration intérieure et la possibilité d’habiller votre avatar de pilote comme un aspirant influenceur de vêtements de sport Puma était le moyen idéal pour le faire.
L’ajout de supercars à collectionner semble un peu plus proche des types de jouets extravagants que les pilotes de F1 réels peuvent se permettre, et il y a au moins un élément de gameplay qui leur est attaché. S’inspirant largement du programme Pirelli Hot Laps qui se déroule lors de vrais grands prix – où les pilotes de F1 sont appelés à lancer des exotiques coûteux sur les pistes avec divers VIP à bord – F1 22 comprend des supercars haut de gamme de Ferrari, AMG, Aston Martin et McLaren pour le rodage à chaud et une sélection de défis de conduite sur mesure. C’est une nouveauté intéressante – très différente de tout ce qui était présent dans les précédents jeux de F1 – mais dans la pratique, ils deviennent un peu monotones et je me suis finalement retrouvé à choisir de les ignorer. Sans la faute de personne, les supercars elles-mêmes sont relativement détrempées lorsqu’elles sont mesurées jusqu’aux roues ouvertes spécialement conçues qui représentent le summum de l’ingénierie F1 actuelle, mais elles transmettent une sensation de vitesse, d’adhérence et de poids suffisamment décente par rapport à leurs contemporains dans des coureurs rivaux. La dérive est étonnamment peu spectaculaire, cependant; un grave manque de fumée lui donne une sensation étrangement stérile.
Jantes vraiment grandes, poches vraiment grandes
Les vraies stars de la F1 22, bien sûr, sont les nouvelles voitures de F1, qui sont les plus élégantes depuis de nombreuses années, bien qu’elles soient dotées de quelques idiosyncrasies de maniement intéressantes qui exigent quelques ajustements de la F1 2021.
Avec leurs roues et leurs pneus plus gros, ainsi que leur volume supplémentaire, les voitures de F1 de 2022 sont les plus lourdes qu’elles aient jamais été. Ils sont également plus bas et plus rigides, avec moins d’appui sur le haut du corps et un accent renouvelé sur l’aérodynamisme de l’effet de sol qui aspire les voitures dans l’asphalte à mesure qu’elles roulent vite. En F1 22, cela s’est traduit par des voitures qui ont l’impression d’avoir perdu une fraction de leur agilité et qui se sentent particulièrement raides en attaquant les trottoirs et les bosses. De plus, j’ai trouvé que j’avais besoin d’être encore plus délicat sur l’accélérateur en sortie de virage que les années précédentes, bien qu’ils semblent aussi parfois un peu plus enclins au sous-virage à venir. dans leur. Le résultat est un modèle de maniabilité dont j’hésiterais à dire qu’il est meilleur que celui des anciennes voitures de F1 2021 et des éditions précédentes, mais il est celui qui se sent crédible en ligne avec les caractéristiques connues des nouveaux. C’est juste différent, et les nuances des nouvelles voitures sont – au minimum – un défi intéressant à relever.
Cependant, alors que certains changements notables ont été injectés dans la maniabilité, la vraie viande de F1 22 – l’excellent mode My Team introduit pour la première fois dans F1 2020 – reste essentiellement la même. Faites campagne auprès des médecins généralistes, complétez la R&D, jonglez avec les finances ; si vous avez joué à F1 2020 ou F1 2021, vous saurez à quoi vous attendre. Il y a cependant quelques modifications intéressantes, comme le nouveau choix de commencer votre première année de My Team en tant qu’opération richement soutenue avec des installations pré-améliorées et un solde bancaire suffisamment important pour attirer un Mark Webber de 45 ans. de sa confortable retraite. La série F1 a toujours été l’un des rares coureurs à pouvoir rendre passionnante la mise au rebut d’une position dans l’ordre, mais avoir la possibilité de se battre immédiatement avec les meilleures équipes est très logique pour les joueurs de retour qui ont dirigé leurs équipes de F1. des vairons aux mégastars plusieurs fois déjà. Les décalcomanies de parrainage ne disparaissent plus de votre voiture malgré la re-signature de partenaires existants, c’est bien aussi ; c’est une petite solution, mais c’était toujours ennuyeux de devoir les remettre manuellement à mi-saison, même après avoir renouvelé leurs contrats.
