Le 3 novembre, Emmanuel Macron a adopté un ton plus ferme envers Israël en lançant un nouvel appel à un cessez-le-feu humanitaire. Sa décision de ne pas participer à la marche contre l’antisémitisme a été notée, d’autant plus que les présidents de toutes les plus hautes institutions étaient présents, ainsi que ses prédécesseurs François Hollande et Nicolas Sarkozy. Interpellé par une femme se disant descendante du capitaine Dreyfus lors des cérémonies du 11 novembre, le président Macron a déclaré: «Je n’ai jamais été à une manifestation, quelle qu’elle soit. Mon rôle est de prendre des décisions, de dire des mots quand il faut les dire et d’agir.» Mais ses propos commencent à dérouter beaucoup de ses interlocuteurs, comme en témoignent ses prises de parole du week-end. Dans une lettre aux Français publiée par Le Parisien le samedi soir, il a dénoncé «l’insupportable résurgence d’un antisémitisme débridé». Mais la veille, il a durci le ton contre Israël en lançant un nouvel appel à un cessez-le-feu humanitaire, déclarant que «de facto, aujourd’hui, des civils sont bombardés».
Comment frapper avec RISP a été le seul défaut des Dodgers de Shohei Ohtani
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