Effets secondaires des injections de COVID liés à 201 types de maladies – CienciaySaludNatural.com

Des chercheurs japonais déclarent que leur examen systématique des documents de recherche sur les injections du COVID-19 a découvert des centaines d’effets secondaires “qui affectent tous les aspects possibles de la pathologie humaine.”

Professeur émérite M.Scasanori Fukushima de l’Université de Kyoto, a déclaré que les effets secondaires des injections de COVID sont liés à 201 types de maladies….
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Les résultats ont été présentés dans un conférence de presse de 93 minutes au Japon organisée le 11 janvier par le Groupe d’étude sur les questions liées aux vaccins, un groupe d’experts médicaux estimés. Les résultats sont intervenus après six mois de recherche sur les effets secondaires des injections contre le COVID-19.

Professeur honoraire Masanori Fukushima de l’Université de Kyoto, il a dit qu’ilL’ampleur des dégâts est « sans précédent » dans les traitements médicaux.

« Une revue systématique de la littérature a révélé des informations choquantes. Des milliers d’articles ont fait état d’effets secondaires après la vaccination, affectant tous les aspects possibles de la pathologie humaine, de l’ophtalmologie à la psychiatrie », a-t-il déclaré.

“Par exemple, le taux de mortalité par leucémie, ajusté selon l’âge, a augmenté. Et il existe des résultats significatifs pour le cancer du sein, le cancer des ovaires, etc.

Fukushima a déclaré qu’il y avait tellement d’événements indésirables liés au cerveau que ses chercheurs ne les avaient probablement pas encore tous trouvés. “Les troubles mentaux, les symptômes psychiatriques, la dépression, la manie et l’anxiété étaient nombreux, mais ils sont infinis”, a-t-il déclaré.

Fukushima, qui compte 208 articles académiques en son nom à ResearchGate, a déclaré que les médecins qui veulent tirer la sonnette d’alarme constatent que leur message est supprimé. En février dernier, a déposé une plainte contre le gouvernement pour avoir prétendument caché les dégâts causés par les injections.

“Les médecins japonais font de gros efforts, mais ils se heurtent à plusieurs obstacles”, a déclaré Fukushima.

Le professeur Yasufumi Murakami de l’Université des sciences de Tokyo a déclaré que la ligne d’action responsable serait d’arrêter l’administration de telles injections.

«Ce qui se passe lorsqu’un gène toxique est administré à un être humain est très clair. Il y a des cas qui surviennent une à deux semaines après l’injection, mais il y a aussi de nombreux cas qui apparaissent après un ou deux ans”, a-t-il déclaré avant d’expliquer longuement les risques à long terme.

«Les injections qui ont échoué continuent d’être administrées et le ministère de la Santé, du Travail et de la Protection sociale reconnaît ces échecs d’injection. C’est pourquoi j’aimerais qu’ils s’arrêtent immédiatement. Et même si je parle à plusieurs endroits, cela ne s’arrête pas du tout. “Nous allons donc présenter les preuves clairement et les publier sous forme d’articles, un par un.”

Murakami a averti que « avec les injections actuelles de type messager, une quantité importante d’IgG4 est induite ».

Il a déclaré que cela dépassait la réponse normale à un vaccin et pourrait interférer avec les fonctions immunitaires.

Les chercheurs trouvé 201 types de maladies parmi 3 071 articles sur les effets secondaires. Le professeur Masayasu Inoue, professeur émérite à la faculté de médecine de l’université d’Osaka, a déclaré que certains dégâts affectaient des familles entières et étaient bien documentés.

“C’est sans précédent dans l’histoire de l’humanité qu’un seul vaccin fasse l’objet d’autant de littérature à son sujet”, a déclaré Masayasu.

“Vous trouverez des maladies du cœur, des reins, de la thyroïde, du diabète, du foie, de la peau, des yeux, du sang, des nerfs, des maladies systémiques, du cerveau, des poumons.”

Fukushima a déclaré que le vaccin à ARNm est dispersé dans tout le corps et n’est pas contenu dans l’épaule comme la plupart des injections.

« Il ne sait pas où aller. “S’il passe dans la circulation sanguine, il atteint le cerveau, le foie et les reins”, explique-t-il.

Fukushima a déclaré que les autorités prêchant un message sûr et efficace ont ignoré de nombreuses preuves et devraient retourner à l’école.

“Avec des fragments de ces connaissances, ils exagèrent les choses et pensent qu’ils peuvent passer à autre chose”, a déclaré Fukushima.

« Donc, honnêtement, ils doivent tout refaire, depuis la biologie du lycée jusqu’aux examens d’entrée au lycée et à l’université. “Comme je l’ai déjà mentionné, le médicament est encore immature.”

Dix minutes des moments forts de la conférence de presse sont disponibles sous-titrées en anglais ci-dessous.