À l’échelle nationale, une campagne de vaccination massive des élèves de cinquième devait permettre d’atteindre un taux de 30 % d’élèves vaccinés contre les papillomavirus (communément abrégés en HPV pour Human Papillomavirus).
En février 2023, le président Macron s’est fixé l’objectif d’atteindre 80 % de vaccination d’ici 2030, soit en sept ans, ce qui signifierait l’éradication du cancer du col de l’utérus.
Cependant, sur les 800 000 élèves de cinquième scolarisés en France, seuls 20 000, soit 2,5 % des effectifs, ont reçu une première dose en un mois et demi de campagne.
En Meurthe-et-Moselle, la campagne concernait 19 000 élèves de cinquième, et aucun chiffre n’a encore été communiqué. L’ARS Grand Est devrait les divulguer prochainement en février.
Besoin de temps
Plusieurs raisons sont avancées par les professionnels de la santé pour expliquer cet échec : manque de communication, d’information, de coordination des personnels de santé, ou encore la méfiance des parents dont une partie préfère passer par le médecin…
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2024-02-02 01:02:34