doi : 10.1111/1556-4029.15154.
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- 1 École de médecine et des sciences de la santé, Université George Washington, Washington, District de Columbia, États-Unis.
- 2 Department of Medical Affairs, Saint Elizabeth’s Hospital, Department of Psychiatry and Behavioral Sciences, School of Medicine and Health Sciences, The George Washington University, Washington, District of Columbia, États-Unis.
- 3 Department of Epidemiology & Biostatistics, Milken Institute School of Public Health, The George Washington University, Washington, District of Columbia, États-Unis.
- 4 Département de psychiatrie et des sciences du comportement, École de médecine et des sciences de la santé, Université George Washington, Washington, District de Columbia, États-Unis.
- 5 Département de psychiatrie, Université Queen’s, Hôpital Providence Care, Kingston, Ontario, Canada.
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Saleh Dhumad et coll.
J Forensic Sci.
2022.
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doi : 10.1111/1556-4029.15154.
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- 1 École de médecine et des sciences de la santé, Université George Washington, Washington, District de Columbia, États-Unis.
- 2 Department of Medical Affairs, Saint Elizabeth’s Hospital, Department of Psychiatry and Behavioral Sciences, School of Medicine and Health Sciences, The George Washington University, Washington, District of Columbia, États-Unis.
- 3 Department of Epidemiology & Biostatistics, Milken Institute School of Public Health, The George Washington University, Washington, District of Columbia, États-Unis.
- 4 Département de psychiatrie et des sciences du comportement, École de médecine et des sciences de la santé, Université George Washington, Washington, District de Columbia, États-Unis.
- 5 Département de psychiatrie, Université Queen’s, Hôpital Providence Care, Kingston, Ontario, Canada.
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Résumé
La reconnaissance croissante des risques posés par les terroristes solitaires donne l’impulsion nécessaire pour comprendre les caractéristiques psychosociales et idéologiques qui distinguent les acteurs isolés des acteurs de groupe. Cette étude examine les différences entre les terroristes acteurs isolés et en groupe dans deux domaines : (i) les attitudes envers le terrorisme, l’idéologie et la motivation des actes terroristes ; et (ii) les facteurs de risque de terrorisme dérivés empiriquement. Utilisant une conception de recherche transversale et des données de source primaire de 160 hommes condamnés pour terrorisme en Irak, cette étude a appliqué des analyses de régression bivariées et logistiques pour évaluer les différences entre les groupes. Il a testé l’hypothèse qu’il n’y a pas de différences statistiquement significatives entre les groupes. Des analyses bivariées ont révélé que les acteurs isolés étaient moins susceptibles que les acteurs de groupe d’être au chômage, de citer les avantages personnels ou collectifs comme principaux motifs de l’activité terroriste et de croire que les actes de terrorisme avaient atteint leurs objectifs. L’analyse de régression a indiqué que le fait d’avoir un père autoritaire était le seul facteur qui prédisait de manière significative l’appartenance à un groupe, les acteurs du groupe étant trois fois plus susceptibles de signaler ce trait. Les acteurs solitaires et les acteurs de groupe sont presque impossibles à distinguer, à l’exception de certaines différences d’attitudes, de motivations, d’emploi et d’avoir un père autoritaire.
Mots clés:
extrémisme; acteurs de groupe; acteurs solitaires ; désordre mental; facteurs de risque; terrorisme.
© 2022 Académie américaine des sciences judiciaires.
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