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Dismantling of a Large 3D Printed Weapons Network: A First in France

Dismantling of a Large 3D Printed Weapons Network: A First in France

Des arrestations liées à un réseau de fabrication d’armes en 3D ont eu lieu en France et en Belgique, a annoncé le parquet de Marseille.

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Après une enquête d’un an menée par la division cyber de la gendarmerie nationale française, huit imprimantes 3D, sept armes 3D complètes et vingt-quatre armes conventionnelles ont été saisis lors de perquisitions dans plusieurs régions.

Le procureur de la République de Marseille Nicolas Bessone a qualifié cette affaire de “première en France”, exprimant son inquiétude lors d’une conférence de presse.

Un homme de 26 ans, qui partageait une mentalité pro-armes et une vision libertarienne, était à la tête de ce réseau. Il a déménagé en Belgique et un mandat d’arrêt international a été émis à son encontre.

Le colonel Hervé Pétry, chef de l’unité nationale cyber, a souligné que ce phénomène, bien que non nouveau, prend une dimension inquiétante.

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Sept personnes ont été écrouées, cinq placées sous contrôle judiciaire et une autre en détention provisoire, toutes ayant entre dix-huit et une trentaine d’années et certains avec des antécédents judiciaires.

Les membres du réseau étaient actifs dans la fabrication, la vente et l’achat d’armes, avec certaines personnes agissant comme intermédiaires et d’autres comme acheteurs.

Les armes fabriquées à partir d’imprimantes 3D étaient de “bonne voire très bonne” qualité, selon le colonel Pétry, et pouvaient être revendues entre 1 000 et 1 500 euros.

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