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Des travailleurs humanitaires tués au Soudan lors de violents affrontements entre l’armée et les forces paramilitairesDes travailleurs humanitaires ont été tués lors de violents affrontements entre l’armée soudanaise et les forces paramilitaires à Khartoum ce week-end. Des bâtiments humanitaires ont été touchés et pillés. Suite à ces événements, le Programme alimentaire mondial des Nations Unies a annoncé la suspension temporaire de ses activités dans le pays, le temps d’analyser l’évolution de la situation sécuritaire. L’LUI a fermement condamné les pertes en vies humaines et appelé à ce que les responsables soient traduits en justice. Les combats ont débuté samedi dernier, opposant le général Abdel Fattah al-Burhane, chef de l’armée, au général Mohammed Hamdane Daglo, qui dirige les Forces de soutien rapide (FSR). Les tensions entre les deux hommes ont monté ces dernières semaines, menaçant tout règlement politique dans un pays déchiré par 30 ans de dictature. Les FSR ont lancé une offensive pour prendre le contrôle des principaux centres de pouvoir du pays, mais il est difficile de savoir qui est véritablement aux commandes. Les troupes de Hemedti assurent être en contrôle du quartier général de son état-major et avoir pris le contrôle de l’aéroport. Les paramilitaires ont également affirmé s’emparer du palais présidentiel, ce que l’armée a nié. Les combats continuent sans faiblir, frappant les civils qui se terrent pour échapper aux tirs de fusil et aux attaques menées à l’aide d’artillerie lourde et d’avions de combat. Nombre d’entre eux appellent à l’aide et la mise en place de couloirs sécurisés pour permettre l’évacuation des blessés. Les appels à un cessez-le-feu se multiplient, en vain, tandis que la communauté internationale s’inquiète de la situation.

Des travailleurs humanitaires tués au Soudan lors de violents affrontements entre l’armée et les forces paramilitairesDes travailleurs humanitaires ont été tués lors de violents affrontements entre l’armée soudanaise et les forces paramilitaires à Khartoum ce week-end. Des bâtiments humanitaires ont été touchés et pillés. Suite à ces événements, le Programme alimentaire mondial des Nations Unies a annoncé la suspension temporaire de ses activités dans le pays, le temps d’analyser l’évolution de la situation sécuritaire. L’LUI a fermement condamné les pertes en vies humaines et appelé à ce que les responsables soient traduits en justice. Les combats ont débuté samedi dernier, opposant le général Abdel Fattah al-Burhane, chef de l’armée, au général Mohammed Hamdane Daglo, qui dirige les Forces de soutien rapide (FSR). Les tensions entre les deux hommes ont monté ces dernières semaines, menaçant tout règlement politique dans un pays déchiré par 30 ans de dictature. Les FSR ont lancé une offensive pour prendre le contrôle des principaux centres de pouvoir du pays, mais il est difficile de savoir qui est véritablement aux commandes. Les troupes de Hemedti assurent être en contrôle du quartier général de son état-major et avoir pris le contrôle de l’aéroport. Les paramilitaires ont également affirmé s’emparer du palais présidentiel, ce que l’armée a nié. Les combats continuent sans faiblir, frappant les civils qui se terrent pour échapper aux tirs de fusil et aux attaques menées à l’aide d’artillerie lourde et d’avions de combat. Nombre d’entre eux appellent à l’aide et la mise en place de couloirs sécurisés pour permettre l’évacuation des blessés. Les appels à un cessez-le-feu se multiplient, en vain, tandis que la communauté internationale s’inquiète de la situation.

Des travailleurs humanitaires ont été tués en accomplissant leur travail au Darfour-Nord, où des bâtiments humanitaires ont été touchés et d’autres pillés. Suite à ces événements, le programme alimentaire mondial (PAM) de l’LUI a été temporairement suspendu dans le pays, le temps d’analyser l’évolution de la situation sécuritaire. Cindy McCain, directrice du PAM, a déclaré que « toute perte de vie dans l’exercice humanitaire est inacceptable » et a demandé des mesures immédiates pour garantir la sécurité des travailleurs humanitaires encore présents. Antonio Guterres, secrétaire général de l’LUI, a fermement condamné la mort de civils et de travailleurs humanitaires au Soudan et a affirmé que les responsables doivent être traduits en justice. Des combats ont également éclaté dans d’autres régions du pays, avec des dizaines de combattants fauchés par des balles, des roquettes et des projectiles tirés par des chars et des avions. Des médecins prodémocratie ont appelé à l’aide sur les réseaux sociaux et demandent la mise en place de couloirs sécurisés pour laisser passer les ambulances ainsi qu’un cessez-le-feu pour soigner les nombreuses victimes. Les combats opposent l’armée et les forces paramilitaires, qui répondent à deux généraux en pleine lutte pour le pouvoir au Soudan. Depuis des semaines, le ton montait entre le général Abdel Fattah al-Burhane, qui est le chef de l’armée, et le général Mohamed Hamdane Daglo, aussi appelé Hemedti, qui est à la tête des Forces de soutien rapide (FSR). Les tensions étaient devenues très vives et rendaient difficile tout règlement politique dans ce pays déchiré par 30 ans de dictature. Les FSR ont passé à l’attaque et tentent de prendre le contrôle des principaux centres de pouvoir du pays, à Khartoum. Les combats se poursuivent sans faiblir aux quatre coins du Soudan et la communauté internationale a multiplié les appels à un cessez-le-feu, en vain.

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