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Des résultats ADN ont permis l’identification de deux victimes de la catastrophe du Bois du Cazier en 1956.

Des résultats ADN ont permis l’identification de deux victimes de la catastrophe du Bois du Cazier en 1956.

Le Bois du Cazier est un lieu emblématique de la région de Charleroi, en Belgique. Malheureusement, cet endroit est également tristement célèbre pour avoir été le théâtre d’une catastrophe minière qui a coûté la vie à 262 mineurs en 1956. Depuis lors, le site a été transformé en un musée commémoratif et culturel. Cependant, environ 65 ans après la catastrophe, deux nouvelles victimes ont été identifiées, grâce aux avancées de la technologie et de la science. Cette découverte apporte une nouvelle lumière sur cette tragédie et permet de faire avancer la recherche sur les causes et les conséquences de la catastrophe du Bois du Cazier. Dans cet article, nous allons explorer les détails de cette découverte ainsi que son impact sur l’histoire de la région.


En octobre 2021, le Bois du Cazier en Belgique a décidé d’exhumer 17 corps non identifiés après la catastrophe minière du 8 août 1956, où 262 personnes avaient trouvé la mort. Si les 17 victimes étaient connues, il n’était pas possible d’établir une correspondance avec leur dépouille. Les corps avaient été inhumés dans une parcelle commune et marqués d’une plaque “inconnu”. Après des résultats d’ADN, anthropologiques et dentaires, deux corps ont été formellement identifiés comme ceux d’Oscar Pellegrims et de Dante Di Quilio. Les cinq autres cas n’ont pas permis une identification concluante, tandis que quatre noms ont été formellement exclus après les analyses. La boucle n’est pas encore totalement bouclée, des tests complémentaires ADN pourraient résoudre les cas non conclus et une ultime demande d’exhumation a été posée.

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