L’Aquila, de notre correspondant. Il y a le maire qui est un ami de la génération Atreju, Pierluigi Biondi. Ensuite, le gouverneur et le commissaire au tremblement de terre de la génération Colle Oppio, Marco Marsilio et Guido Castelli apparaissent. ET au final, avec un retard sensationnel, voici Ignazio La Russa, génération nostalgie-Fiuggi, en mode silencieux (« ma présence parle »). La Première ministre Giorgia Meloni, députée de L’Aquila parce qu’elle a été élue ici, arrive dans la ville frappée par le tremblement de terre avec le poids de presque une génération de promesses tenues : 14 ans de bureaucratie, de faux appels d’offres, d’argent gaspillé. Meloni regarde L’Aquila et pense au Pnrr.
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