Conséquences de la crise de Gaza. Lors d’une entrevue d’une heure avec le journaliste Hamid Mahdaoui, l’influenceuse Mayssa Naji a révélé l’activité discrète de communication de certaines personnes sympathisantes d’Israël au Maroc, notamment l’organisation de nombreuses “visites de presse” à Tel Aviv, tous frais compris.
Mayssa a pointé du doigt une collègue “connectée aux Israéliens”, dont la mission est d’améliorer l’image d’Israël auprès des citoyens marocains tout en essayant de faire oublier “la politique coloniale” de l’État hébreu en Palestine depuis 1948.
La polémique s’est étendue à un présentateur casablancais et à son patron, qui est directeur d’un groupe d’édition, avant d’éclabousser des activistes du Hirak Rif.
Un certain Ouayhman, militant de gauche, a prétendu lors d’une sortie médiatique inédite que le Hirak avait été “infiltré par des agents du Mossad” en 2017.
Une tempête dans un verre d’eau ?
Article19.ma
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