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Découvrez les nouvelles variations de la Royal Oak Répétition Minutes Supersonnerie en céramique noire d’Audemars Piguet

Découvrez les nouvelles variations de la Royal Oak Répétition Minutes Supersonnerie en céramique noire d’Audemars Piguet

La manufacture suisse de Haute Horlogerie Audemars Piguet poursuit son exploration de matériaux en dévoilant deux nouvelles versions de la Royal Oak Répétition Minutes Supersonnerie réalisées pour la première fois en céramique noire.

Présentant une esthétique épurée, le garde-temps est contrasté par de subtils détails réalisés en or gris. Dotées de la dernière version du mécanisme manufacture de Supersonnerie et animées par le mouvement répétition minutes à remontage manuel breveté, Calibre 2953, ces deux pièces offrent une performance acoustique de haut vol qui transcende la conductivité acoustique de la céramique. En associant un design très contemporain à une technologie dernier cri, ces deux modèles ouvrent un nouvel horizon technique et esthétique à la collection Royal Oak.

L’élégance du noir

Pour la première fois, Audemars Piguet anime sa Royal Oak Répétition Minutes Supersonnerie d’une version habillée de céramique noire, incorporant pour l’occasion un fond plein également réalisé dans ce matériau. Percé de nombreuses ouvertures sur le côté – permettant l’amplification du son lorsque la montre est portée -, le fond incarne le méticuleux travail de confection et finition réalisé sur la céramique visant à en magnifier les nuances et à révéler la géométrie multifacette de la boîte de la Royal Oak.

La céramique ici employée contient de la poudre d’oxyde de zirconium (Z2O) associée à un liant. Elle ne révèle sa couleur finale uniforme qu’une fois frittée à plus de 1000°C. Chaque composant est alors pré poli et pré satiné avant d’être terminé à la main selon l’alternance de chanfreins polis et satinés, signature de la Manufacture. Enfin, le fond plein est gravé d’ondes sonores qui matérialisent l’incroyable performance acoustique délivrée par le mécanisme de Supersonnerie.

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L’esthétique monochrome des garde-temps est prolongée par le cadran noir à motif Grande Tapisserie, complété d’un réhaut et du compteur de petite seconde colimaçonné à 6 heures. La première version se pare d’index des heures en or gris avec revêtement luminescent, tandis que le second modèle est serti de 13 index en diamant taille baguette offrant un éclatant contraste. Les deux versions sont dotées d’aiguilles Royal Oak en or gris luminescente, garantissant une lisibilité optimale. Les différents éléments en or gris du cadran font écho aux huit vis hexagonales qui viennent fixer la lunette octogonale sur la boîte.

Chaque pièce est proposée avec un bracelet noir en caoutchouc réhaussé de plots en titane et terminé par une nouvelle boucle déployante AP à trois lames, également en titane.

Royal Oak Répétition Minutes Supersonnerie © Audemars Piguet

L’alliance de céramique et de la performance acoustique

Ces deux nouvelles Royal Oak Répétition Minutes Supersonnerie fusionnent complexité technique et minutie esthétique. Elles sont animées par le tout dernier mouvement répétition minutes à remontage manuel de la Manufacture, Calibre 2953. Ce dernier combine une technologie avancée et un haut niveau de finitions traditionnelles. Malgré la conductivité sonore modérée de la céramique, ces deux pièces garantissent une remarquable performance acoustique grâce au système de Supersonnerie dévoilé par la Manufacture en 2015.

Développé par Audemars Piguet et lancé dans la collection Royal Oak Concept, le mécanisme de Supersonnerie confère à ces nouveaux modèles de Répétition Minutes une puissance sonore généralement associée aux montres de poche. Cette technologie brevetée est le fruit de huit ans de recherches en collaboration avec l’École Polytechnique Fédérale de Lausanne (EPFL). Inspiré par la capacité sonore des anciennes montres à répétition ainsi que par l’harmonie des instruments de musique, un panel d’horlogers, de techniciens, de chercheurs et de musiciens a réinventé la construction de la boîte pour élaborer une nouvelle technologie de sonnerie.

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La puissance acoustique, la qualité sonore et les tonalités harmoniques de la Supersonnerie sont assurées par des timbres et une architecture de boîte brevetés. Les timbres ne sont pas fixés sur la platine, mais sur un nouveau dispositif jouant le rôle de table d’harmonie qui améliore la transmission des vibrations et amplifie l’intensité du son. Couplée avec un fond plein doté de multiples petites ouvertures latérales pour laisser l’air s’échapper, la membrane en titane permet aux notes de la répétition minutes de résonner à la perfection lorsque la montre est portée au poignet, quels que soient les matériaux utilisés pour les composants de l’habillage de la pièce.

En effet, l’acoustique de la technologie Supersonnerie est telle qu’Audemars Piguet a pu l’emboîter en de multiples variétés de matériaux au fil de ses collections, depuis le titane jusqu’au platine 950 en passant par l’or gris ou rose 18 carats – chaque variation offrant une puissance et une tonalité propres. Cette année, la Manufacture a repoussé plus loin encore ses expérimentations acoustiques en dévoilant ses tout premiers modèles Répétition Minutes Supersonnerie en céramique noire. Même les fonds des boîtes, qui jouent un rôle acoustique essentiel en faisant office de chambre de résonance avec la membrane de la Supersonnerie, sont façonnés en céramique noire. Dans la mesure où la membrane en titane sur laquelle les timbres sont attachés amplifie la transmission sonore de la céramique, il en résulte un son puissant et cristallin.

Un hommage contemporain au passé

Depuis sa naissance en 1875, Audemars Piguet s’est spécialisé dans les montres à sonnerie en réalisant des mécanismes Grande Sonnerie, Petite Sonnerie et Répétition Minutes très complexes. D’après les archives, plus de la moitié des 1 625 montres produites entre 1882 et 1892 incluaient un mécanisme à sonnerie. Cette productivité s’explique par les aptitudes remarquables des artisans travaillant alors pour la Manufacture au sein d’une douzaine d’ateliers répartis à la vallée de Joux.

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Alors que la production de montres de poche à son¬nerie ne s’est jamais arrêtée chez Audemars Piguet, celle des montres-bracelets à sonnerie se raréfie au cours du XXe siècle. Entre 1892 et 1957, la Manufacture a réalisé 35 montres-bracelets dotées d’une répétition minutes. Durant les années 1960, les mécanismes à sonnerie étaient uniquement des¬tinés aux montres de poche. Il faut attendre les années 1990 pour voir réapparaître les montres-bracelets à sonnerie au sein de la Manufacture suite à la renaissance des autres complications classiques au lendemain de la crise du quartz. Les mouvements à répétition minutes font leur entrée au sein de la collection Royal Oak en 1997 avec le lancement de la première Royal Oak Grande Complication réunissant une répétition minutes, un calendrier perpétuel et un chronographe à rattrapante.

Apparue en 2015 au sein d’une Royal Oak Concept, la technologie Supersonnerie s’est ensuite progressivement étendue à la collection Royal Oak en 2019 avec une Répétition Minutes Supersonnerie intégralement en titane. D’autres variations en titane, platine ou en combinaison des deux ont ensuite été présentées. Aujourd’hui, Audemars Piguet repousse toujours plus loin les limites de l’horlogerie en associant savoir-faire séculaire et technologie de pointe à un
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