À Mioveni, en Roumanie, une employée effectue un contrôle sur une break Jogger, le 16 juin. EUGEN OPRINA/Dacia/Groupe Renault
REPORTAGE – Sans renier ses racines low cost, la marque monte en gamme tout en veillant à proposer des prix compétitifs.
À Bucarest et Mioveni (Roumanie), Renault astique sa pépite Dacia. “Un joyau du groupe”, aime à répéter Luca de Meo, le directeur général de Renault. Il se donne à fond pour donner à l’ancienne marque low cost, qui détient 8,5% du marché automobile en Europe, les moyens de briller davantage et de lui rapporter des marges encore plus abondantes. “À deux chiffres”, rappelle le patron du groupe, impressionné par ces performances.
Le constructeur roumain, bien que peu séduisant avec ses voitures robustes mais peu élégantes, avait convaincu Louis Schweitzer, alors directeur du losange, que la recette du low cost serait un succès dans l’automobile. On connaît la suite : la Logan en 2004, la Sandero en 2008, restylée en 2012, toujours en tête des ventes aux particuliers en Europe, puis le Duster en 2010. Encore un best-seller.
Fini le low cost. Désormais, Dacia se chic-ise. L’année dernière, la marque s’est aventurée sur le segment C (celui de la Mégane, de la Peugeot 308 ou de la Citroën C4) avec… Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 85% à découvrir.
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