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Critique de film après Yang: la révélation devient assez ringard

Critique de film après Yang: la révélation devient assez ringard

Dans le magistral roman futuriste britannique “Clara et le soleil” de Kazuo Ishiguro, les parents peuvent acheter un ami AV/artificiel pour leurs enfants. Klara est l’une de ces amies artificielles qui est achetée pour divertir la fille gravement malade Josie. Klara est un robot exceptionnellement sensible et réceptif qui grandit avec la tâche, devenant de plus en plus “humain”, mais elle n’a pas de volonté propre. Les propriétaires décident quand ils la ferment.

“Après Yang”, basé sur une nouvelle d’Alexander Weinstein, réalisé par le réalisateur coréen-américain Kogonada se sent clairement inspiré par “Klara et le soleil”. Ici aussi, on se retrouve avec une future famille mais dans un pays qui ne se prononce pas, dans une société multiethnique, high-tech aux accents asiatiques. Malgré le fait que les parents de la petite Mika (Malea Emma Tjandrawidjaja) ne semblent pas trop occupés (le père tient un salon de thé sans clients, la mère s’assoit la plupart du temps devant un écran), ils lui ont donné un frère aîné, un ” techno-sapien”, nommé Yang (Justin H Min) qui développera son héritage asiatique. Il semble y avoir un manque d’enfants dans le futur, Mika est adopté, mais ici, en plus des robots, il y a aussi des clones.

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