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Cristina Ferreira a porté cinq looks ! Clara de Sousa est contre et explique pourquoi – Nacional

Cristina Ferreira a porté cinq looks !  Clara de Sousa est contre et explique pourquoi – Nacional

A un mois de ses 55 ans, Clara de Sousa s’apprête à présenter le deuxième gala des Golden Globes du SICprévu ce dimanche soir, au Coliseu dos Recreios de Lisbonne. La journaliste dévoile, sans encombre, le look qu’elle portera, signé par son styliste de prédilection : João Rôlo. Il n’en restera qu’un, contrairement à Cristina Ferreira qui, en 2019, avait eu droit à cinq !

“Je maintiens ma déclaration à cet égard : pas de regards, je regarde. Je n’ai pas de robes, j’ai ‘la’ robe. Et c’est en cela que João s’engage et se dévoue corps et âme. Ce sera une couleur et un style différents de l’année dernière, mais la couture à son meilleur, comme il se doit.r», raconte-t-il à ‘Caras’, ajoutant : « Le mon truc ce n’est pas tellement de changer de robe, parce que ça aussi c’est épuisant et ça nous prive d’énergie. Ensuite, nous avons des moments difficiles. L’année dernière on sortait de la pandémie de Covid, cette année on a une guerre… Nous traversons une crise, il y a des gens qui ont de grandes difficultés. C’est pourquoi je préfère m’en tenir à une robe, qui est “cette” robe”.

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Surmonter certains problèmes de plus grande fragilité émotionnelle, comme la mort de ses parents, et après avoir réussi à arrêter de fumer, ce qui lui a fait prendre 10 kg, Clara de Sousa reste sereine en vieillissant. “L’âge nous apporte toujours de très bonnes choses en termes de connaissances et de maturité. Je ne sens pas le poids de l’âge. Je sais que je vieillis, je vais avoir 55 ans, mais je me sens bien. Je fais plus d’exercice aujourd’hui qu’à 30 ans. Je prends mieux soin de moi et je ne ressens pas physiquement ce genre de transformation. Je ne me sens plus fatiguée au jour le jour. Je remarque que ma peau vieillit évidemment, mais putain c’est parce que je suis en vie.”

Toujours sur les Golden Globes, le journaliste avoue qu’il y a toujours des nerfs. “J’ai toujours été en sécurité, une certaine nervosité ne le sera que jusqu’à ce que je sente l’ambiance dans la salle et le poids de la scène. C’est un peu comme ça quand j’ai de grosses interviews. Ces premières minutes sont toujours un peu sous pression, mais à partir de là, nous nous adaptons.”

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