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Conflit familial autour du traitement médical d’Alain Delon : Le clan se déchire

Conflit familial autour du traitement médical d’Alain Delon : Le clan se déchire

Depuis plusieurs jours, le clan Delon se déchire. D’un côté les deux frères, Anthony et Alain-Fabien et de l’autre Anouchka Delon. Selon l’avocat du célèbre comédien, les deux frères auraient pris la décision d’arrêter le traitement médical de leur père. BFMTV a révélé avoir pu consulter des échanges de SMS entre Anouchka et Anthony Delon, remontant à juillet 2023, avant le début de leur querelle. Ils évoquaient tous les deux l’état de santé d’Alain Delon, de plus en plus diminué. L’aîné de la famille expliquait qu’il fallait prendre une décision pour permettre à leur père de continuer de se battre ou alors de le laisser partir.

“Je pense, à ce jour, qu’il en a marre de se battre. Si ça ne change pas rapidement, c’est fini, s’il décide de lâcher, rien ni personne n’y pourra rien. On se parle plus tard. Je vous embrasse”, écrivait notamment Anthony Delon dans ces messages qui datent de juillet 2023. “S’il plonge, il ne sera pas transportable et l’acharnement thérapeutique inutile”, avait-il ajouté dans un autre message. Selon lui, il fallait que tout le monde soit présent pour lui au domaine de Douchy “avec le max de confort et d’amour pour l’accompagner”. De son côté, Anouchka Delon ne semblait pas favorable à cette fin de traitement envisagée.

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Anouchka Delon ne sentait pas entendue ni écoutée

“On a beau avoir chacun notre avis, on n’est pas spécialistes. Alors arrêter (le traitement) pourquoi pas, mais pas maintenant”, avait-elle écrit. Elle n’était pas prête à dire adieu à son père. “Je veux garder papa encore quelques temps dans les meilleures conditions comme nous tous. Je ne pense pas qu’arrêter le traitement soit raisonnable”, avait-elle ajouté ne se sentant pas écoutée. “On n’arrête pas comme ça contre avis médical. J’apprécierais qu’on m’écoute là-dessus. C’est pas un Doliprane qu’on arrête comme ça. Il faut être conscients que si on continue ou arrête le traitement, s’il lui arrive quelque chose, ça sera de notre faute. Je vous embrasse”.
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