Les propriétés antimicrobiennes des bactéries ont fait l’objet de recherches approfondies depuis la découverte accidentelle de la pénicilline en 1928. La recherche dans ce domaine a montré que les bactéries produisent des antibiotiques qui éliminent un large éventail d’espèces. D’autre part, les bactéries produisent également des composés antimicrobiens ou des toxines qui éliminent un spectre beaucoup plus restreint d’espèces. Un exemple de ces composés antimicrobiens comprend les bactériocines, qui éliminent principalement les membres de la même espèce ou du même genre. L’évolution d’un si large spectre de composés antimicrobiens qui ciblent un large éventail d’espèces et de composés qui ciblent des espèces spécifiques reste cependant inconnue. Dans une étude récente, Jacob D. Palmer et Kevin R. Foster ont développé un modèle évolutif pour mieux comprendre le spectre antimicrobien des bactéries.
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Une ferme à longue façade à Lierop, dans le Brabant, a subi d’importants dégâts jeudi soir en