Comment identifier les aliments ultratransformés: un guide pour une alimentation plus saine

Les aliments ultratransformés sont largement présents dans les paniers d’épicerie des Québécois, malgré les recommandations du Guide alimentaire canadien de les éviter. Savoir les identifier est un premier pas vers une alimentation plus saine. Les aliments ultratransformés sont réputés pour être plus élevés en sucre, gras et sel, ce qui augmente les risques d’hypertension, de maladies cardiovasculaires, de cancer et d’obésité. Pour les identifier, on peut se référer au système NOVA qui classe les aliments en quatre groupes. Environ 48 % des calories consommées par jour par les Canadiens en 2015 provenaient d’aliments ultratransformés, selon une enquête de Statistique Canada en 2020, tandis qu’une enquête de l’Institut national de santé publique du Québec en 2019 a révélé que les aliments ultratransformés représentaient le tiers du volume total des achats alimentaires dans la province. Des exemples d’aliments ultratransformés incluent les barres tendres, les biscuits soda, les céréales à déjeuner et le pepperoni. Le beurre d’arachide est considéré comme un aliment minimalement transformé s’il est composé uniquement d’arachides broyées. Les boulettes végétales peuvent contenir plusieurs additifs, mais ne sont pas considérées comme ultratransformées. Les boissons ultratransformées peuvent contenir des arômes artificiels, des sucreries et des colorants caramel.
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