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Classement MONDIAL : Les dix meilleurs livres de non-fiction en juin

Classement MONDIAL : Les dix meilleurs livres de non-fiction en juin

2023-06-01 13:22:14

UNLa liste des recommandations les plus diffusées dans la zone germanophone est publiée ici chaque mois. Les partenaires médias sont “Literarische Welt”, RBB Kultur, “NZZ” et Radio Österreich 1. Les experts d’un jury indépendant sélectionnent dix livres non romanesques du mois dans les domaines des sciences humaines, naturelles, sociales et économiques. Intéressant en juin :

1. Timothy Garton Ash :

Europe. Une histoire personnelle. Traduit par Andreas Wirthensohn. Hanser, 448 pages, 34 euros

Le publiciste et historien britannique a écrit un livre brillant sur l’Europe. Elle commence avec son grand-père, qui a participé au Débarquement en Normandie en 1944, et s’étend jusqu’à l’Ukraine d’aujourd’hui. Lire une critique détaillée ici.

2. Philippe Descola :

Les formes du visible. Une anthropologie des images. Traduit par Christine Pries. Suhrkamp, ​​783 pages, 68 euros

Que voit-on vraiment quand on voit des images ? Des masques aux créatures mythiques en passant par les motifs de la peinture de genre néerlandaise : Descola, professeur émérite d’anthropologie au Collège de France, a écrit un livre révélateur.

3. Demandez à Sauer :

Morale. L’invention du bien et du mal. Piper, 392 pages, 26 euros

D’où vient la morale – et comment se manifeste-t-elle aujourd’hui ? Le philosophe Hanno Sauer a étudié l’histoire de nos coutumes, valeurs et punitions depuis le début de l’histoire jusqu’au présent disputé. Lire une interview détaillée ici.

4. Barre d’élevage Gabriel :

De la magie du destin. Ce que Pompéi raconte de nous. Propylées, 238 pages, 29 euros

Gabriel Breeding Riegel, le directeur allemand du site du patrimoine mondial de Pompéi, parle de la fascination de son site de fouilles. L’année 79 après J.-C., lorsqu’une ville entière a été submergée par les cendres volcaniques et les décombres, nous est très proche dans ce livre.

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5. Marianna Mazzucato / Rosie Collington :

Le grand salon du conseil. Comment l’industrie du conseil fragilise nos entreprises, s’infiltre dans l’État et s’approprie l’économie. Campus, 327 pages, 26 euros

Dans le passé, seules les entreprises pouvaient être conseillées. Aujourd’hui, les consultants influencent la législation dans de nombreux pays. Les deux auteurs écrivent dans leur livre que l’externalisation des tâches de l’État a augmenté de manière exorbitante. Et critiquer le fait que d’énormes sommes d’argent provenant des impôts affluent dans l’industrie du conseil.

6. Eva Illouz :

émotions antidémocratiques. L’exemple d’Israël. Suhrkamp, ​​259 pages, 18 euros

La sociologue israélienne Eva Illouz a écrit un livre sur le populisme dans son pays d’origine. Le gouvernement Netanyahu cultive-t-il des « émotions antidémocratiques » ? Ou la critique d’Israël elle-même est-elle populiste ? Ce livre vous invite à regarder de plus près. Lire une critique détaillée ici.

7. Martin Schroder :

Quand les femmes sont-elles vraiment satisfaites ? Des aperçus surprenants sur le partenariat, la carrière, les enfants, le ménage. C. Bertelsmann, 256 pages, 20 euros

Le sociologue Martin Schröder estime que les femmes ne sont pas aussi insatisfaites que le féminisme le laisse croire. Sa preuve : une étude de longue haleine qui contient en fait quelques chiffres surprenants. Lire une critique détaillée ici.

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8. Confucius :

Conversations. Retraduit et illustré par Hans van Ess. CH Beck, 816 pages, 48 ​​euros

Confucius savait ce qu’était la vraie courtoisie il y a 2 500 ans et critique les personnes au pouvoir qui n’ont pas la force de caractère nécessaire à leur fonction. Avec sa nouvelle traduction commentée, le sinologue Hans van Ess va bien au-delà des traductions précédentes en réinterprétant les concepts clés de Confucius.

9. Régina Scheer :

Puits amers. Hertha Gordon-Walcher et le rêve de révolution. Pingouin, 698 pages, 30 euros

Regina Scheer connaissait l’exilé juif et communiste Hertha Walcher (1894-1990) depuis son enfance. Basé sur de nombreuses conversations, son portrait crée une vision très personnelle d’une femme impressionnante qui était entourée de compagnons bien connus tels que Rosa Luxemburg, Clara Zetkin, Wilhelm Pieck, Bertolt Brecht et Willy Brandt.

10. Susanne Lüdemann / Edith Seifert :

Au-delà d’Œdipe ? Explorations psychanalytiques des bouleversements sexo-politiques. Psychosozial-Verlag, 246 pages, 34,90 euros

Le complexe d’Œdipe, le tabou de l’inceste et la castration symbolique sont-ils aujourd’hui des catégories obsolètes ? L’anthologie arrive à la conclusion que les développements les plus récents de la politique sexuelle – “mariage pour tous”, troisième sexe, langage adapté au genre – n’ont pas rendu ces questions superflues, mais les ont rendues considérablement plus difficiles.

La recommandation supplémentaire

En plus des dix conseils du jury, il y a chaque mois une recommandation d’un invité. Cette fois par Prof. Naïka Foroutan (Professeur de recherche sur l’intégration et de politique sociale à l’Université Humboldt de Berlin). Elle recommande :

Golineh Atai : Iran – La liberté est féminine. Rowohlt Berlin, 320 pages, 22 euros

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« L’appauvrissement, la privation de droits et le manque d’avenir sont les conditions de vie contre lesquelles les Iraniens se révoltent. En même temps, le son de la révolution iranienne est jeune, féministe, multiethnique, numérique et donc très compatible avec l’iconographie mondiale et les idées des formations sociales progressistes. Le mot d’ordre de la révolution vient du Kurdistan. « Zan, Zendegi, Azadî – femme, vie, liberté » signifie qu’il n’y aura de liberté que lorsque les femmes de ce monde pourront mener une vie autodéterminée. Golineh Atai réussit son livre ‘Iran. La liberté est féminine » pour capter ce son de la révolution. Elle retrace les positions actuelles du sujet entre le courage et la peur de manière détaillée et bien informée. Elle aborde également l’émergence d’une nouvelle solidarité sur la base d’une conscience féministe qui a l’opportunité non seulement de changer la vision occidentale de ce pays, mais aussi de réajuster les idées du féminisme comme relation de solidarité entre les sexes. » (Naika foroutan)

Le jury du « Non-Fiction du mois »

Tobias Becker, « Spiegel » ; Natascha Freundel, RBB Culture ; Eike Gebhardt, Berlin; Knud von Harbou, publiciste, Feldafing ; Pr Jochen Hörisch, Université de Mannheim ; Günter Kaindlstorfer, Vienne; Otto Kallscheuer, Sassari, Italie ; Petra Kammann, “Feuilleton Francfort” ; Jörg-Dieter Kogel, Brême ; Wilhelm Krull, The New Institute, Hambourg; Marianna Lieder, critique indépendante, Berlin ; Lukas Meyer-Blankenburg, SWR 2 Connaissances ; Prof. Herfried Münkler, Université Humboldt; Gerlinde Pölsler, “Moth” ; Marc Reichwein, MONDE; Thomas Ribi, “Neue Zürcher Zeitung”; Prof. Sandra Richter, Archives de la littérature allemande Marbach; Wolfgang Ritschl, ORF; Florian Rötzer, “Krass & Béton” ; Norbert Seitz, Berlin; Anne-Catherine Simon, “Die Presse”, Vienne; Prof. Philipp Theisohn, Université de Zurich; Andreas Wang, Berlin; Harro Zimmermann, Brême ; Stefan Zweifel, Suisse.



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