Cássia Kis est l’une des prochaines vétérans de Globo qui va bientôt perdre son emploi. Le diffuseur a décidé de ne pas renouveler le contrat de l’actrice après la fin du feuilleton Travessia, qui est diffusé aux heures de grande écoute de sa programmation.
La décision d’éteindre Cássia avait déjà été prise avant même que le feuilleton actuel ne soit diffusé. L’actrice, leader des audiences depuis près de 40 ans, est consciente qu’elle sera sans emploi stable à la fin des enregistrements.
Bien que Cássia ait irrité la direction de Globo, ses co-stars et un grand nombre de professionnels du domaine artistique en faisant des déclarations homophobes dans une interview avec Leda Nagle, le licenciement avait déjà été décrété avant cela.
À tel point que lors de la soirée de lancement de la telenovela, tenue une semaine avant sa première, Cássia avait dit à ses collègues journalistes présents que Travessia marquerait ses adieux aux telenovelas de Globo et qu’elle avait l’intention de prendre sa retraite peu de temps après.
Mais il est important de souligner que cette décision ne vient pas d’elle. Globo a considérablement réduit sa masse salariale et promu des coupes dans la distribution permanente sans sourciller. Même les vétérans établis n’ont pas été épargnés, comme cela s’est produit récemment avec Marieta Severo et Osmar Prado, qui collectionnent des œuvres mémorables dans la dramaturgie du réseau.
Ils sont pourtant déjà sur le radar de certains auteurs pour participer aux nouvelles productions de Globo et Globoplay. Cassia, qui rejoindra bientôt l’équipe des chômeurs, n’aura plus cette chance. Bien qu’elle ait également un palmarès brillant, ses récentes déclarations ont fait des ravages.
De plus, elle a beaucoup travaillé dans les coulisses de Travessia, comme l’avait prévu mon ami Lucas Pasin, de l’UOL. L’actrice a tourmenté le casting via WhatsApp avec l’envoi de nombreuses fausses nouvelles politiques, a donné une émission étoilée en studio, a manqué de respect à l’équipe et a même essayé de promouvoir des chaînes de prière avant de commencer à enregistrer. Un vrai spectacle d’horreur.
Il est important de noter que la chronique a demandé à Globo de commenter davantage le licenciement du vétéran après la fin de Travessia, mais le diffuseur a refusé de commenter.