Le joueur de tennis italien a retenu toute l’attention ces dernières semaines. Non pas à cause des performances sur le court de tennis, mais à cause du bruit non sportif.
En résumé :
- Le 7 mai, le joueur de 32 ans a été soudainement rayé de la liste des joueurs de tennis actifs. La raison en était que l’Agence pour l’intégrité du tennis (ITIA) avait inscrit Giorgi sur la liste des joueurs qui ont abandonné, ont écrit les médias italiens.
- Cinq jours plus tard, le 12 mai, la Gazzetta Dello Sport écrivait que Giorgi s’était rendu aux États-Unis. Selon le journal, elle et plusieurs personnes de son entourage font l’objet d’une enquête du fisc italien.
– Il y a eu de nombreuses rumeurs imprécises sur mes projets futurs. J’ai hâte de partager plus d’informations sur les opportunités passionnantes à venir.
C’est la seule chose que l’Italienne a dite après que les rumeurs selon lesquelles elle avait décidé d’arrêter ont commencé à tourbillonner.
Comme si le fisc italien ne suffisait pas, Giorgi a désormais un propriétaire à son cou. selon Corriere della Sera le propriétaire qui a loué une villa à l’ancien joueur de tennis dans la région de Florence a accusé l’homme de 32 ans de vol.
– Elle a pris la moitié de nos meubles. Nous parlons de dommages de 50 000 à 100 000 euros, précise-t-il au journal. Cela correspond à 580 000 – 1,16 million de NOK.
Le propriétaire affirme que de beaux meubles, des tapis persans et une table antique de grande valeur ont disparu sans laisser de trace de la villa.
Giorgi elle-même n’a pas commenté les accusations portées contre elle.
le quotidien fait partie de Tous les médias
Pourquoi voyez-vous cette annonce ?
Le site Internet que vous visitez actuellement est largement financé par les revenus publicitaires. Sur la base de votre activité précédente chez nous, vous recevrez des publicités qui, selon nous, pourraient vous intéresser.
Vous choisissez si vous souhaitez modifier vos paramètres
En savoir plus sur les paramètres
À propos d’Aller Média et de la publicité
Aller Media est propriétaire des sites Internet Dagbladet, Sol, DinSide, KK, Se og Hør, Lommelegen, Topp et Vi.
En savoir plus sur Aller Media et les publicités