Boris Pistorius obtient l’aide de l’industrie

C’est peut-être pour cela que Pistorius a repris la parole. Quelques jours plus tard, le ministère de la Défense avertissait dans une autre lettre adressée au ministre des Finances Christian Lindner d’un « effondrement » si les dépenses consacrées à la Bundeswehr n’augmentaient pas de manière significative dans le prochain budget. Il existe même une menace de gel des armes : les contrats d’achat devraient être résiliés et les commandes d’armes suspendues, écrivent les collaborateurs de Pistorius.

Les fronts se sont maintenant tellement durcis que Christian Lindner a même bloqué les allocations pour les soldats de la brigade lituanienne que Pistorius avait effectivement promises. « Mes experts ont des questions. Le ministère des Finances n’est pas une agence où l’argent des contribuables peut simplement être commandé », a écrit Lindner sur X (anciennement Twitter).