Nouvelles Du Monde

« Beppina » de Paola Pierantoni, la critique de Loredana Di Adamo

« Beppina » de Paola Pierantoni, la critique de Loredana Di Adamo

2024-05-16 10:00:00

/*! elementor – v3.18.0 – 20-12-2023 */ .elementor-widget-text-editor.elementor-drop-cap-view-stacked .elementor-drop-cap{background-color:#69727d;color:#fff} .elementor-widget-text-editor.elementor-drop-cap-view-framed .elementor-drop-cap{color:#69727d;border:3px solid;background-color:transparent}.elementor-widget-text-editor : pas (.elementor-drop-cap-view-default) .elementor-drop-cap{margin-top:8px}.elementor-widget-text-editor:not(.elementor-drop-cap-view-default) .elementor -drop-cap-letter{largeur:1em;hauteur:1em}.elementor-widget-text-editor .elementor-drop-cap{float:left;text-align:center;line-height:1;font-size : 50px}.elementor-widget-text-editor .elementor-drop-cap-letter{display:inline-block}

«Beppina. Voyage dans la condition des femmes et les asiles du début des années 1900»

Auteur: Paola Pierantoni
Éditeur: Depuis
Nombre de pages: 160
Prix ​​de couverture : 15,00 euros
Année de publication: Majeur 2024
Avec les commentaires de Loredana Di Adamo et Natale Calderaro

C’est ainsi qu’une biographie peut nous guider sur ce même terrain d’être-là, dans lequel se retrouve alors l’humanité perdue, grâce à la possibilité offerte par ceux qui écrivent sur elle et par ceux qui peuvent continuer à lire et à raconter. Continuer à valoriser l’histoire et pouvoir la redécouvrir dans son actualité, dans chaque présent de chaque époque : tel est le sens du possible dans lequel trouvent un philosophe, un psychologue et un psychiatre engagés dans l’œuvre de destruction de l’asile. eux-mêmes et en lesquels ils croient. Pour qu’il n’y ait plus jamais de lieux traversés par le silence, et pour que chaque parole puisse toujours être entendue. (extrait de la postface de Loredana Di Adamo et Natale Calderaro, p. 137)

Lire aussi  Qu'est-ce que le collagène marin et quels bienfaits apporte-t-il à notre corps

Beppina est un livre qui rassemble la biographie d’une famille bourgeoise à la fin du XIXe siècle, l’internement d’Arturo Pierantoni dans un hôpital psychiatrique et l’état de sa femme Beppina qui reste seule avec trois enfants. Le livre parle de droits refusés et de lettres jamais envoyées, comme c’était l’habitude à l’époque, et d’un manque de soins.

“Est ce qu’il y a du courrier pour moi?” Arturo Pierantoni

L’auteur, Paola Pierantoni, petite-fille des protagonistes de l’histoire, n’avait jamais connu ses grands-parents, ni à quel point la culture de la folie et le sort d’une loi, celle de 1904, avaient bouleversé leur vie. Pierantoni parvient à reconstituer l’histoire de sa vie grâce à un travail d’archéologie médicale dans les précieuses archives des asiles psychiatriques, dans lesquels il était habituel de mettre de côté tout ce qui appartenait aux détenus, y compris les lettres non envoyées. Comme le dit Natale Calderaro, médecin, psychiatre et protagoniste de la Réforme, s’il y avait eu la loi 180, l’histoire de Beppina et Arturo aurait été différente.

Lire aussi  Guide d'utilisation des poêles et braseros à la maison · Habitat Sain

« La destruction de l’hôpital psychiatrique comme lieu d’institutionnalisation »

Premier Congrès international de psychiatrie sociale, Londres 1964 Franco Basaglia

Le texte est multisensoriel avec un contenu multimédia pouvant être visualisé avec un système vcode.



#Beppina #Paola #Pierantoni #critique #Loredana #Adamo
1715962646

Facebook
Twitter
LinkedIn
Pinterest

Leave a Comment

This site uses Akismet to reduce spam. Learn how your comment data is processed.

ADVERTISEMENT