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Baz Ashmawy, après sa rencontre avec des manifestants, revient avec un SOS DIY merveilleusement bien-être – The Irish Times

Baz Ashmawy, après sa rencontre avec des manifestants, revient avec un SOS DIY merveilleusement bien-être – The Irish Times

La vivacité suralimentée de Baz Ashmawy n’est pas pour tout le monde. Sa série Sky 50 Ways to Kill Your Mammy aurait pu s’appeler 50 Reasons to Change the Channel. Rencontré à la fin d’une longue journée, tout cet enthousiasme peut saper l’âme. Mais il est le présentateur idéal pour DIY SOS : The Big Build Ireland (RTÉ One, dimanche, 18h30), une émission de bien-être qui nécessite un présentateur de bien-être.

La prémisse de The Big Build est beaucoup plus simple que sa bouchée de titre. Dans chaque épisode, une armée de volontaires descend sur une maison ayant besoin d’une assistance architecturale et se retrouve coincée. Cette semaine, le décor est le nord de la ville de Cork, le milieu des jeunes délinquants, Roy Keane, Frank O’Connor et les cloches de Shandon .

Ashmawy est là pour rendre visite à Adam Drummond et à ses parents, Brian et Mar. Adam était un basketteur prometteur dont le monde a été bouleversé lorsqu’un accident l’a rendu incapable de marcher. Douze mois après cet événement qui a changé sa vie, lui et sa famille espèrent rendre leur maison, dans la banlieue de Blackpool, accessible aux fauteuils roulants. C’est une grosse demande. Le côté nord de Cork est notoirement désordonné : les marches menant à la porte d’entrée des Drummond contiennent plus de pièges que le temple aztèque au début des Aventuriers de l’arche perdue.

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Les tâches d’Ashmawy consistent à devenir enthousiaste et à encourager les bénévoles. C’est un travail plus délicat que vous ne le pensez. Il doit comprendre Adam pour son handicap et être un auditeur compréhensif lorsque Mar fond en larmes en se rappelant la première fois qu’elle a vu son fils en fauteuil roulant. « Je ne savais pas ce que signifiait la communauté jusqu’à ce que l’accident se produise », dit-elle.

Le défi pour Ashmawy est d’être authentique sans être condescendant envers les Drummonds ou le public. Des larmes de crocodile ou une fausse sincérité arrêteraient le spectacle dans son élan, et c’est au crédit d’Ashmawy qu’il évite les deux. « J’ai perdu mes mots », dit-il alors que l’équipe installe un télésiège et réaménage le jardin. “C’est un exploit en soi.”

Il revient sur les ondes après avoir révélé qu’après l’émission spéciale de Noël DIY SOS, au cours de laquelle des bénévoles ont hébergé des réfugiés ukrainiens, il a été suivi et maltraité par un groupe de manifestants. Cet incident brosse un tableau affreux de l’intolérance dans l’Irlande moderne. Mais le dernier épisode offre un portrait très différent d’une communauté qui se rassemble et fait de bonnes choses grâce à la détermination, au travail acharné et à l’optimisme. Cela ajoute à une télévision merveilleusement agréable.

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