Un ancien employé de Health New Zealand accusé d’avoir divulgué des données sur le vaccin Covid-19 a comparu devant le tribunal aujourd’hui avant son procès devant jury.
Au moins 12 000 personnes ont vu leurs informations personnelles divulguées dans le cadre de la fuite de 2023.
Barry Young a plaidé non coupable en décembre à une accusation d’accès à des systèmes informatiques dans un but malhonnête.
Une vingtaine de partisans l’attendaient ce matin devant le tribunal de district de Wellington.
Ils brandissaient des pancartes remerciant l’informaticien de 56 ans pour ses actions présumées, qu’ils ont qualifiées de dénonciation.
Young s’est arrêté et leur a parlé avant son audience procédurale.
Il a été placé en détention provisoire jusqu’à sa prochaine audience en avril.
Dans une autre affaire impliquant des informations du ministère de la Santé, le ministère a déclaré hier qu’un membre du personnel qui, selon lui, avait divulgué des informations aux médias, n’était plus employé par le ministère.
RNZ a rapporté le mois dernier un document du ministère montrant que le ministre adjoint de la Santé, Casey Costello, avait demandé des conseils sur le gel de l’augmentation annuelle de la taxe sur le tabac.
Et ce, bien que Costello ait déclaré qu’elle n’avait pas demandé conseil à ce sujet.
Dans un communiqué, la directrice générale de la Santé, Diana Sarfati – qui dirige le ministère – a déclaré que l’individu responsable de la fuite avait été identifié après une enquête et qu’il ne travaillait plus au ministère.
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