Dans notre société où la mobilité est devenue un enjeu crucial, les constructeurs automobiles rivalisent d’ingéniosité pour proposer des véhicules toujours plus performants et confortables. Mais comment choisir le modèle qui conviendra le mieux ? Peugeot propose un nouvel outil : le simulateur de conduite. Davidson, passionné d’automobiles, a testé pour nous cette technologie innovante. Découvrez son expérience dans cet article où il exprime son enthousiasme pour ce simulateur Peugeot, qui s’est révélé être une véritable révélation pour lui.
Anthony Davidson, ancien pilote Peugeot et Toyota sacré en Endurance en 2014, a testé la nouvelle Hypercar de Peugeot au simulateur de Peugeot Sport. Pour Davidson, ces quelques tours au simulateur ont été une “véritable révélation”. Il a pu apprécier les nouvelles voitures conçues pour avoir une esthétique variée, tout en étant un peu moins rapide et en demandant moins de ressources financières que leurs devancières. “Les voitures sont vraiment excitantes à observer, et la Peugeot a un look original puisqu’elle n’a pas d’aileron arrière ; la liberté donnée aux designers est l’un des charmes du nouveau règlement”. Cependant, dans le simulateur, Davidson a été frappé par le poids de la voiture, plus lourd que les prototypes de la génération précédente, moins agile et plus difficile à manœuvrer que les LMP1 qu’il a pilotées au cours de sa carrière. De plus, la gestion de la puissance et de la motricité n’a plus rien à voir avec le LMP1, une courbe du couple moteur est clairement définie pour chaque voiture via la BoP. La puissance maximale de 200 kW délivrée par le MGU ne vient pas s’ajouter aux 500 kW produits par le moteur à combustion interne, ce qui rend l’obtention de la puissance plus complexe.
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