Engagée dans la paroisse latine d’Alep, en Syrie, pour soutenir ceux qui ont tout perdu dans le tremblement de terre du 6 février, Nadine nous raconte, dans le nouvel épisode de Finis Terrae, des histoires de courage et d’espoir au sein d’une communauté blessée : « Les dégâts sont non seulement dans les bâtiments, mais à l’intérieur des personnes»
Nadine Khoudary était très jeune lorsque la guerre syrienne a frappé Alep : durant ces 12 années, elle a connu les horreurs du conflit et subi les effets d’une crise économique qui a poussé 60 % de la population à la faim. Chrétienne, aujourd’hui psychologue engagée comme éducatrice dans la paroisse latine, Nadine était chez elle lorsque, dans la nuit du 5 au 6 février, la terre trembla, jetant à nouveau dans la terreur la ville autrefois la plus prospère et la plus cosmopolite du pays. Son histoire à « Finis Terrae. Histoires au-delà des frontières » nous emmène dans les décombres syriens pour nous montrer les histoires de courage et d’espoir au sein d’une communauté blessée.
“La fin de la terre» est un programme créé par la rédaction de « Mondo e Missione » en collaboration avec l’École de journalisme de l’Université catholique.
Lire ici aussi l’article : Syrie : nos Pâques après le tremblement de terre
