Par Pierre Avril
Publié
hier à 19:52
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Mis à jour il y a 4 heures
REPORTAGE – Pour sa première visite à l’étranger en tant que roi, il veut sceller le réchauffement entre Londres et le continent.
Correspondant à Berlin
Après l’annulation de la visite en France du roi Charles pour cause de grève, l’escale allemande de trois jours du souverain britannique, entamée mercredi à Berlin, semble faire office de séance de rattrapage. Même si celle-ci était planifiée de longue date, censée faire suite à la tournée parisienne, c’est ainsi qu’était perçue par de nombreux Allemands la présence du monarque devant la place de Brandebourg en compagnie du président de la République, Frank-Walter Steinmeier.
Celui-ci a rendu les honneurs militaires à son hôte: la première fois qu’un invité d’État bénéficie en ce lieu, autrefois symbole de la partition de l’Europe, d’une telle marque de distinction. «Aujourd’hui, six ans après que la Grande-Bretagne a entamé son départ de l’UE, nous ouvrons un nouveau chapitre dans nos relations», a salué le chef de l’État allemand.
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