Les années d’or sont terminées

Ludwig Erhard, homme politique de la CDU, n’a pas seulement joué un rôle important dans la mise en œuvre de ces principes au cours de la réforme monétaire et économique de 1948. En tant que premier ministre de l’Économie de la République fédérale d’Allemagne, il a défendu l’économie de marché avec véhémence et détermination. pendant de nombreuses années : en tant que ministre fédéral, il a utilisé 80 pour cent de ses forces pour lutter contre les méfaits. Malgré beaucoup de scepticisme et de résistance, le succès lui a donné raison. Un miracle économique s’est produit, contrastant fortement avec l’instabilité économique de l’Allemagne dans l’entre-deux-guerres et avec l’Allemagne de l’Est frappée par la pénurie.

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L’épine dorsale de ces impressionnants gains de prospérité était le mark allemand, qui a continué de s’apprécier par rapport aux autres monnaies. Cela a obligé les entreprises allemandes à accroître continuellement leur efficacité et à développer de bons produits. On a parlé d’un fouet de productivité qui ferait de l’Allemagne la locomotive de la croissance de toute l’Europe occidentale. Les importants gains de productivité ont constitué la base économique d’augmentations constantes des salaires, de l’expansion de l’État-providence et du soutien financier aux pays partenaires dans le processus d’intégration européenne.