Le débat concernant le crime d’agression de la Russie en Ukraine fait rage depuis plusieurs mois. Cependant, il n’existe actuellement aucun mécanisme permettant à la justice internationale de traiter un tel crime. Mardi, lors d’un événement organisé en marge de l’Assemblée générale des Nations unies à New York, le chef du Département fédéral des affaires étrangères (DFAE), Ignazio Cassis, a exprimé fermement le soutien de la Suisse à la création d’un tribunal spécial pour le crime d’agression contre l’Ukraine. En janvier, le conseiller national Damien Cottier avait lancé le même appel lors de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe. Le gouvernement ukrainien lui-même a longtemps exhorté les États à établir une telle instance.
La CPI n’est pas compétente
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