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Trump : Ne pas céder aux intimidateurs et extorqueurs

face au harcèlement ou à l’extorsion, la réponse est claire : refuser et se défendre. Un agresseur ou un extorqueur détecte la faiblesse et la peur, il reviendra réclamer davantage.

C’est ce qui s’est passé pour un pays d’Asie du Sud-Est face à un ancien président américain. Après son retour, ce dernier a rapidement imposé un droit de douane de 32 % sur les marchandises exportées vers les États-unis. Au lieu de résister, le pays a tremblé, a envoyé une délégation de haut rang et a imploré la clémence.

Le résultat ? Non seulement l’ancien président n’a pas allégé le fardeau,mais il a redoublé d’efforts. Les droits de douane ont grimpé à 47 %, accompagnés d’une liste de demandes extravagantes sans rapport avec le commerce.

L’une de ces demandes : accepter un millier de Palestiniens de Gaza. Cela semble charitable au premier abord. Derrière cette proposition se cache une manœuvre politique sinistre. Pour un pays qui a toujours défendu l’indépendance palestinienne sur la terre palestinienne, c’est une humiliation. Accepter une telle condition revient à approuver le déplacement permanent des Palestiniens de Gaza.C’est comme demander à ce pays d’aider un autre à effacer gaza de la carte. Et pourtant, l’ancien président, avec son arrogance caractéristique, a osé présenter cela comme un geste de bonne volonté.

Autre condition scandaleuse : ce pays d’Asie du Sud-Est doit réduire son utilisation du système de paiement local, qui permet des transactions numériques locales transparentes. Pourquoi ? Parce que, selon l’ancien président, cela nuit aux géants financiers américains.Peu importe que ce système de paiement soit un symbole de l’innovation financière et de la souveraineté de ce pays. Dans son monde, tout défi à la domination des entreprises américaines est considéré comme un acte d’hostilité.

Mais les exigences ne se sont pas arrêtées là.

Il a également été demandé à ce pays d’assouplir les réglementations sur les lois de localisation des données afin que les entreprises technologiques américaines puissent librement transférer et stocker les données des citoyens sur des serveurs américains.Essentiellement, l’ancien président exigeait une porte dérobée à la souveraineté numérique de ce pays, permettant aux entreprises américaines de récolter, d’exploiter et de monétiser les données locales sans le contrôle du gouvernement.

Autre point de pression : le secteur pharmaceutique. L’ancien président a insisté pour que ce pays prolonge les protections de brevet sur les produits pharmaceutiques américains et restreigne sa propre production de médicaments génériques. Cette mesure, si elle était acceptée, rendrait les médicaments vitaux plus chers pour des millions de personnes, juste pour apaiser les grandes entreprises pharmaceutiques américaines.

N’oublions pas la menace voilée de l’ancien président : retarder la transition vers l’énergie verte. Les compagnies pétrolières et gazières américaines, affirmait-il, étaient injustement exclues de la feuille de route énergétique de ce pays. Il a suggéré de « rééquilibrer » sa politique énergétique, ce qui signifie autoriser davantage de contrats de combustibles fossiles provenant de géants pétroliers américains.

L’économie, l’environnement et même la politique étrangère de ce pays ont été menacés par un homme dont la stratégie est claire : extorquer, intimider, puis récompenser la soumission.

Mais pourquoi ce pays cède-t-il ?

Parce qu’il a oublié la règle d’or : ne jamais céder à un tyran.

L’ancien président a toujours prospéré grâce à la peur. Si une nation se lève, il cille. Mais si elle s’incline, il resserre son emprise. Des pays comme le Canada, le Mexique et même la Chine ont appris à négocier avec prudence, et non avec lâcheté. Ils ripostent en cas de besoin. Ils créent des alliances. ils n’envoient pas d’émissaires pour ramper.

en cédant à l’extorsion de l’ancien président,ce pays risque non seulement des arduousés économiques,mais aussi un compromis moral. C’est une nation fondée sur des principes, notamment le mandat constitutionnel sacré de soutenir tous les peuples colonisés dans leur lutte pour la liberté. Accepter la proposition de réinstallation des Palestiniens trahirait ce mandat. Céder aux pressions pour abandonner le système de paiement local ou assouplir les lois sur la confidentialité des données trahirait sa souveraineté numérique. Donner aux grandes entreprises pharmaceutiques les clés de son secteur de la santé trahirait les malades et les pauvres.

Le président,qui a promis force et souveraineté,est confronté à un moment de vérité. Va-t-il tracer une ligne ? Va-t-il dire à l’ancien président que ce pays n’est pas à vendre ?

Il ne s’agit pas seulement de commerce. Il s’agit de dignité.Et à l’ancien président,il faut rappeler que ce pays ne s’agenouille pas. Ni devant les droits de douane, ni devant les menaces, et certainement pas devant une politique transactionnelle déguisée en diplomatie.

Ce pays doit arrêter cette spirale avant qu’elle ne s’aggrave.il doit renforcer la coopération Sud-Sud, diversifier ses partenaires commerciaux et revoir sa dépendance vis-à-vis des marchés américains. Un réalignement stratégique n’est peut-être pas facile, mais l’apaisement coûtera beaucoup plus cher.

Ne jamais négocier sous l’effet de la peur. Et ne jamais récompenser l’extorsion. C’est ainsi que les nations préservent non seulement leur économie,mais aussi leur âme.

Comment un pays d’Asie du Sud-Est a subi l’extorsion d’un ancien président américain

Le texte relate l’histoire d’un pays d’Asie du Sud-Est victime d’extorsion par un ancien président américain. La leçon centrale est claire : face au harcèlement, il faut résister et se défendre. Le pays, ayant cédé à la pression, a vu la situation empirer.

Comment l’extorsion s’est déroulée

Le pays a d’abord subi des droits de douane de 32 % sur ses exportations vers les États-Unis. Au lieu de résister, il a cédé et envoyé une délégation. Cela a conduit à une augmentation des tarifs douaniers à 47 %, ainsi qu’à une série de demandes plus larges et sans rapport avec le commerce.

Les demandes scandaleuses

L’une des demandes était d’accepter un millier de Palestiniens de Gaza,ce qui,selon le texte,serait une manœuvre politique sinistre. D’autres demandes comprenaient :

Réduire l’utilisation du système de paiement local au profit des géants financiers américains.

Assouplir les lois sur la localisation des données pour faciliter le transfert de données des citoyens vers les serveurs américains.

Prolonger les protections de brevet pour les produits pharmaceutiques américains et restreindre la production de médicaments génériques.

Retarder la transition vers l’énergie verte pour favoriser les compagnies pétrolières et gazières américaines.

Pourquoi le pays a-t-il cédé ?

Selon le texte, le pays a cédé parce qu’il a oublié la règle fondamentale : ne jamais céder à un tyran. Le texte souligne que l’ancien président prospère sur la peur et répond à la soumission en renforçant ses exigences.

Les conséquences de la soumission

Le texte met en garde contre l’extorsion, qui engendre :

Des difficultés économiques.

Un compromis moral.

Une trahison des valeurs fondamentales du pays.

Les actions nécessaires

Le texte conclut qu’il est impératif de :

Résister à l’extorsion.

Renforcer la coopération Sud-Sud.

Diversifier les partenaires commerciaux.

* Réduire la dépendance aux marchés américains.

FAQ

Pourquoi le pays a-t-il cédé aux demandes ?

Le pays a cédé par peur et en oubliant la règle de ne jamais céder à l’intimidation.

Quelles sont les conséquences de la soumission ?

Des difficultés économiques, un compromis moral et une trahison des valeurs nationales.

Quelles sont les mesures à prendre ?

Résister à l’extorsion, renforcer la coopération Sud-Sud, diversifier les partenaires commerciaux et réduire la dépendance aux marchés américains.

Tableau récapitulatif des exigences de l’ancien président américain

| Demande | Conséquences |

| :——————————————— | :——————————————————————————————————————————————— |

| Accepter des Palestiniens de Gaza | Humiliation politique, soutien au déplacement permanent des Palestiniens. |

| Réduire l’utilisation du système de paiement local | Avantage aux géants financiers américains, atteinte à la souveraineté financière. |

| Assouplir les lois sur la localisation des données | Atteinte à la souveraineté numérique, permettre l’exploitation des données locales par des entreprises américaines. |

| Prolonger les protections de brevet pharmaceutiques | Rend les médicaments vitaux plus chers pour des millions de personnes ; favorise les grandes entreprises pharmaceutiques américaines. |

| Retarder la transition vers l’énergie verte | Favorise les compagnies pétrolières et gazières américaines, menace l’environnement et la politique énergétique du pays. |

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