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Les maisons les plus chères de la province se trouvent dans la région de Montréal et dans les Laurentides

by Nouvelles
Les maisons les plus chères de la province se trouvent dans la région de Montréal et dans les Laurentides

C’est dans la région de Montréal et dans les Laurentides que se trouvent les maisons les plus chères de la province au dernier trimestre, selon l’Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec (APCIQ), qui a publié ses plus récentes données vendredi.




En revanche, c’est dans les régions éloignées que sont les aubaines. Baie-Comeau et Matane sont les deux marchés les moins chers.

Ce sont les deux seuls marchés répertoriés dans la plus récente publication de l’APCIQ qui affichent un prix médian sous les 200 000 $. Le prix médian est le prix qui sépare un échantillon donné en deux parties égales.

Cela dit, région éloignée ne va pas nécessairement de pair avec bas prix. Les maisons de Val-d’Or et de Rouyn-Noranda, en Abitibi, ont un prix médian équivalent à celui en vigueur dans la région de Trois-Rivières, autour de 300 000 $.

Située à plus de 900 kilomètres de Montréal et à 230 kilomètres à l’est de Baie-Comeau, Sept-Îles enregistre un prix médian de 268 750 $ au plus récent trimestre.

En ce qui a trait aux variations de prix, les hausses de prix trimestrielles les plus fortes en un an, c’est-à-dire en comparant le prix médian du troisième trimestre de 2023 à celui du trimestre correspondant de 2022, sont observées dans l’ordre à Tremblant (31 %), à Matane (23 %) et dans la région de Drummondville (16 %).

À l’autre bout du spectre, le prix médian a reculé de 11 % en un an à Rouyn-Noranda et est resté stable dans la région de Gatineau (1 %), à Saguenay (2 %) et à Sept-Îles (2 %).

« La stabilisation généralisée des conditions de marché à l’avantage des vendeurs à travers le Québec contribue à faire monter les prix à des niveaux supérieurs à ceux du deuxième trimestre 2023 dans plusieurs marchés, rattrapant du même coup l’essentiel de ce qui avait été perdu durant la correction des prix enregistrée lors de la deuxième partie de l’année 2022 », soutient Charles Brant, directeur du Service de l’analyse de marché de l’APCIQ, dans un communiqué.

« On remarque toutefois que la situation évolue différemment dans plusieurs marchés de villégiature, leurs conditions de marché ayant désormais tendance à renouer avec l’équilibre et même avantager les acheteurs. Ce sont des signes précurseurs du caractère précaire de cette embellie du marché. »

Les ventes résidentielles à l’échelle de la province se chiffraient à 18 283 au troisième trimestre de 2023, en légère hausse de 1 % comparativement au même trimestre en 2022. Il s’agit d’un niveau d’activité supérieur à la moyenne pour cette période de l’année, observe l’APCIQ.

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