Arrêtez de dire “Procrastination” : Découvrez les vraies raisons et comment les surmonter
Table of Contents
- Arrêtez de dire “Procrastination” : Découvrez les vraies raisons et comment les surmonter
- Arrêtez de dire “Procrastination” : Découvrez les vraies raisons et comment les surmonter
- 1. Vous n’êtes pas concentré (même si vous pensez l’être)
- 2. Vos objectifs sont vagues (ou ne sont tout simplement pas les vôtres)
- 3. votre système de gestion du temps est défaillant
- 4. Vous choisissez la distraction plutôt que l’inconfort
- Arrêtez de dire Procrastination. Commencez à vous demander ce qui se passe réellement.
- FAQ sur la procrastination
PARIS – 8 mai 2024 –
vous vous demandez souvent pourquoi vous procrastinez ? Ce comportement est fréquemment mal interprété. Cet article, basé sur des années d’expérience et de recherche, explore les véritables racines de la procrastination : manque de concentration, objectifs imprécis, mauvaise gestion du temps ou évitement de l’inconfort. La compréhension de ces facteurs par des experts vous permettra de prendre des mesures concrètes pour améliorer votre productivité et passer à l’action plus efficacement.
Arrêtez de dire “Procrastination” : Découvrez les vraies raisons et comment les surmonter
Nous utilisons le mot procrastination
à tort et à travers, comme s’il s’agissait d’un véritable diagnostic. Ce n’en est pas un. C’est un terme vague qui englobe quelque chose de beaucoup plus spécifique, et de plus, qui peut être corrigé.
Quand quelqu’un dit qu’il procrastine, ce qu’il veut vraiment dire, c’est : Je fais autre chose que ce que je sais que je devrais faire.
la question est pourquoi. Après plus de 40 ans de travail avec des personnes très performantes, les raisons se répartissent en quatre grandes catégories.
Examinons ce qui se passe réellement en profondeur.
1. Vous n’êtes pas concentré (même si vous pensez l’être)
Lena, une étudiante en doctorat, est venue me voir en disant qu’elle procrastinait sur sa thèse. Elle avait terminé ses recherches. Elle avait même un plan. Mais chaque fois qu’elle s’asseyait pour écrire, elle n’arrivait pas à se concentrer.
Son téléphone était toujours à portée de main. Elle dormait mal. Son esprit rebondissait constamment entre les tâches.
Lorsque nous avons réglé son problème de sommeil, introduit de courts sprints d’écriture chronométrés et l’avons formée à de simples exercices de concentration basés sur la respiration, le brouillard s’est dissipé. En quelques semaines, elle écrivait régulièrement.
Conseil pratique : La concentration n’est pas seulement une question de volonté,c’est une question d’état. Si votre esprit et votre corps ne sont pas calmes, votre attention se dispersera. Point final.
2. Vos objectifs sont vagues (ou ne sont tout simplement pas les vôtres)
Jake, un cadre de 40 ans, n’arrêtait pas de retarder une présentation à son conseil d’administration. Il appelait cela de la procrastination.mais la vérité ? Il ne savait pas vraiment quel était le but de la présentation. Il n’avait aucune clarté, et aucune appropriation.
Nous avons travaillé à définir l’objectif en une seule phrase : Montrer au conseil d’administration comment notre département augmentera sa rentabilité de 10 % cette année.
Cette clarté lui a instantanément donné une direction.Il a cessé de tergiverser et s’est mis au travail.
Le saviez-vous ? Si vos objectifs sont flous, ou n’ont pas vraiment de sens pour vous, votre cerveau résistera. La clarté et l’investissement personnel sont du carburant.
3. votre système de gestion du temps est défaillant
Une lycéenne que j’ai coachée, nommée Marisol, prenait du retard dans ses demandes d’admission à l’université. Sa mère pensait qu’elle était paresseuse. Ce n’était pas le cas. Elle ne savait tout simplement pas comment planifier.
Nous avons établi un calendrier avec des blocs de tâches de 30 minutes et des pauses entre les deux. Elle a réglé des minuteurs sur son téléphone. Je lui ai appris à planifier à rebours à partir des échéances. La différence a été immédiate : ce qui semblait insurmontable est devenu réalisable.
Beaucoup de gens sous-estiment le temps nécessaire à l’exécution des tâches, ne tiennent pas compte du temps de transition ou essaient de faire plusieurs choses à la fois. Ce n’est pas de la paresse, c’est un manque de structure.
4. Vous choisissez la distraction plutôt que l’inconfort
Ray, un fondateur de startup, n’arrivait pas à se résoudre à rédiger des mises à jour pour les investisseurs. Chaque fois qu’il s’asseyait pour en rédiger une, il devait soudainement
nettoyer sa cuisine, promener le chien ou répondre à des courriels. Sous tout cela ? La peur. et si les investisseurs n’aimaient pas les chiffres ? Et s’ils retiraient leur financement ?
Une fois que nous avons nommé l’inconfort, et que nous nous sommes entraînés à rester assis avec lui, il a rédigé les courriels. L’inconfort est une partie normale du travail à enjeux élevés. Vous ne pouvez pas l’éviter,mais vous pouvez vous entraîner à rester présent à travers lui.
Question pour vous : Quelle est la tâche que vous évitez le plus et pourquoi ?
Arrêtez de dire Procrastination.
Commencez à vous demander ce qui se passe réellement.
La prochaine fois que vous vous surprendrez à dire : Je procrastine,
arrêtez-vous. Soyez curieux. Demandez-vous :
- Suis-je assez calme pour me concentrer ?
- Mon objectif est-il clair et significatif ?
- Ai-je bien structuré mon temps ?
- Est-ce que j’évite l’inconfort ?
Ce sont les vraies questions. Et elles mènent à de vraies solutions.
FAQ sur la procrastination
Rappelez-vous : vous n’avez pas un problème de procrastination. Vous avez un défi avec la concentration, les objectifs, le temps ou l’inconfort. Et la bonne nouvelle ? Chacun de ces problèmes peut être résolu.