Le stress des jours précédents, les préoccupations et les engagements des semaines et des mois passés, se sont dissipés lorsque les coureurs de la “Bidasoa Itzulia-Gran Premio El Diario Vasco” ont franchi la ligne d’arrivée sur le Paseo Colón lors de la troisième étape.Jorge García, qui faisait ses débuts en tant que directeur de course, reconnaît : « Je ne sais pas encore très bien comment nous avons fait, mais après tout ce que nous avons traversé ces derniers mois, et avec une nouvelle équipe de travail, nous avons réussi à mener la course à bien. cela dit, si nous voulons organiser une bonne Itzulia en 2026, nous devons nous y mettre dès maintenant.»
Avant cela, il faut faire le bilan d’une édition marquée par le jour férié du 8 mai en France, qui a conditionné les routes que la course devait emprunter. Le changement le plus crucial a été l’inclusion d’un contre-la-montre de Guadalupe à Jaizkibel le premier jour.
« La crono s’est très bien passée, mais nous n’envisageons pas de la répéter si nous restons un tour de trois jours. »
Un défi qui imposait le respect.
García reconnaît que « c’était un défi qui nous imposait le respect. Ce n’est pas une étape très difficile à organiser, mais elle comporte certaines complications. Les équipes sont nerveuses, car elles jouent gros en très peu de temps. Mais tout s’est bien passé. »
Il se souvient que « comme c’était un jour férié en France, il y avait beaucoup de touristes et il a fallu forcer un peu la machine de la coupure de la circulation avec l’Ertzaintza, qui s’est très bien comportée. Et je tiens également à remercier le travail des bénévoles qui ont très bien travaillé pour maintenir une longue coupure. »
Pour García, ce fut une étape « très belle.Et il y avait pas mal de supporters, profitant également du beau temps. Le mauvais côté du cyclisme, c’est qu’on les voit passer en un clin d’œil, mais le contre-la-montre vous donne la possibilité de les voir un par un. »
Malgré les bonnes sensations laissées par le contre-la-montre, il n’y en aura en principe pas d’autre en 2026. « Pour un tour de trois jours, je continue de penser que c’est trop court. Nous avons toujours en tête de récupérer le quatrième jour et là, il y aurait plus de place. »
Lors de la deuxième étape, le défi a été la grosse averse – « nous avons été pris dans une grêle » – et lors de la troisième, « nous avons le point de nervosité du début, en commençant à Hendaia, en passant par Irun et en entrant et sortant d’Hondarribia. Une fois passé Gurutze, tout est plus facile. » Il admet qu’« il y a des détails à peaufiner, mais l’Ertzantza et la Guardia Civil nous ont dit que tout s’était très bien passé. »
Nous avons mené à bien une nouvelle édition malgré les difficultés.
Bilan de la Bidasoa Itzulia 2024 : Retour sur une édition réussie
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Les coureurs de la “Bidasoa Itzulia-Gran Premio El Diario Vasco” ont franchi la ligne d’arrivée, libérant tous les stress accumulés par les organisateurs. Jorge García, le nouveau directeur de course, dresse le bilan d’une édition particulièrement complexe.
Une édition marquée par des défis
L’édition 2024 a présenté son lot de défis,notamment en raison du jour férié du 8 mai en France,qui a impacté les itinéraires.
Le principal changement a été l’ajout d’un contre-la-montre de Guadalupe à Jaizkibel lors de la première étape.García souligne les toughés d’organisation : gestion du trafic touristique, coordination avec l’Ertzaintza (police basque) et mobilisation des bénévoles. Malgré ces obstacles, l’étape s’est bien déroulée.
La deuxième étape a été impactée par une forte averse. La troisième étape a présenté un point de nervosité, notamment au début du parcours, entre Hendaia, irún et Hondarribia.
L’avenir de la course
García confirme : « Nous avons mené à bien une nouvelle édition malgré les difficultés. »
Tableau récapitulatif des étapes
| Étape | Particularité | Difficultés rencontrées |
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| Étape 1 | Contre-la-montre | Gestion du trafic touristique,coordination avec l’Ertzaintza et mobilisation des bénévoles. |
| Étape 2 | | Forte averse |
| Étape 3 | Parcours | Nervosité du début, notamment entre Hendaia, Irún et Hondarribia. |
FAQ : Questions fréquentes sur la Bidasoa Itzulia 2024
Q : qui est le nouveau directeur de course ?
R : Jorge García.
Q : Qu’est-ce qui a impacté les itinéraires de la course ?
R : Le jour férié du 8 mai en France.
Q : Quelle a été la principale nouveauté de l’édition 2024 ?
R : L’inclusion d’un contre-la-montre.
Q : Les contre-la-montre seront-ils maintenus dans l’avenir ?
R : Non, pas si la course reste sur trois jours.
Q : Quel était le défi de la deuxième étape ?
R : La forte averse.
Q : Quel était le défi de la troisième étape ?
R : Le début du parcours.