le gouvernement espagnol souhaite étendre les exhumations au sein du complexe de Cuelgamuros, suscitant des débats et des inquiétudes quant à l’avenir de la basilique.En mars dernier, la justice a examiné des recours concernant les autorisations d’exhumation dans la basilique du Valle de los Caídos, où reposent les restes de plus de 33 000 personnes issues des deux camps de la Guerre Civile.
Des analyses sont en cours sur les échantillons prélevés dans la Chapelle du Sépulcre. Une demande d’extension des exhumations à la Chapelle du Saint-Sacrement, soutenue par 170 familles, rencontre l’opposition de proches souhaitant préserver le repos des défunts.
Le gouvernement, par l’intermédiaire de Patrimonio Nacional, a sollicité une nouvelle autorisation municipale pour étendre les exhumations à d’autres cryptes de Cuelgamuros. Le ministère de la Politique Territoriale et de la Mémoire Démocratique déplore les tentatives de blocage de ces opérations par des groupes d’« ultradroite ».
L’objectif est d’étendre les exhumations aux zones où reposent les restes réclamés par les familles. Cette extension pourrait impacter le déroulement des activités religieuses des moines bénédictins, notamment si les interventions se concentrent sur la Chapelle du Saint-Sacrement, située sous la sacristie.
Une autre hypothèse envisagée est l’intervention dans les chapelles latérales, ce qui pourrait entraîner une fermeture partielle, voire totale, de la basilique.Cinq chapelles dédiées à la Vierge pourraient être concernées : celles du Pilar, de la Vierge de Lorette, de l’Immaculée Conception, de la Vierge d’Afrique et du carmen.
Depuis le début des exhumations en juin 2023, des restes provenant de neuf localités ont été identifiés. Vingt-neuf dépouilles ont été restituées aux familles, notamment celles issues d’une fosse d’Aldeaseca (Ávila), dont les « sept de Pajares », et d’une autre fosse de Borja (Saragosse).
Le gouvernement affirme avoir informé les familles des toughés rencontrées et des ralentissements causés par l’« obstruction » d’organisations telles que l’Association pour la Réconciliation et la Vérité Historique.
Exhumations à cuelgamuros : Le gouvernement espagnol face aux défis
Table of Contents
Le gouvernement espagnol prévoit d’étendre les exhumations au sein du complexe de Cuelgamuros, suscitant des débats et des inquiétudes. La justice a examiné en mars dernier les recours concernant les autorisations d’exhumation dans la basilique du Valle de los Caídos, où reposent les restes de plus de 33 000 personnes issues des deux camps de la Guerre Civile.
objectifs et Enjeux des Exhumations
L’objectif principal est d’étendre les exhumations aux zones où reposent les restes réclamés par les familles.Le gouvernement, par l’intermédiaire de Patrimonio Nacional, a sollicité une nouvelle autorisation municipale pour cela. Le ministère de la Politique Territoriale et de la Mémoire Démocratique déplore les tentatives de blocage de ces opérations.
Zones d’Intervention Potentielles et Impact
Plusieurs zones pourraient être concernées par ces exhumations :
Chapelle du Saint-Sacrement: Une demande d’extension soutenue par 170 familles rencontre l’opposition de proches. Les interventions pourraient impacter les activités religieuses des moines bénédictins.
Chapelles latérales: L’intervention dans les chapelles dédiées à la Vierge (Pilar, Lorette, Immaculée Conception, Afrique et Carmen) pourrait entraîner une fermeture partielle, voire totale, de la basilique.
* Chapelle du Sépulcre: Des analyses sont en cours sur les échantillons prélévés.
Depuis juin 2023, suite au début des exhumations, des restes provenant de neuf localités ont été identifiés. Vingt-neuf dépouilles ont été restituées aux familles. Le gouvernement informe les familles des toughés rencontrées.
FAQ sur les Exhumations à Cuelgamuros
1. Pourquoi le gouvernement souhaite-t-il étendre les exhumations ?
Pour récupérer et identifier les restes des défunts demandés par les familles.
2. Où se situent les exhumations ?
Dans la basilique du Valle de los Caídos, au sein du complexe de Cuelgamuros.
3. Qui s’oppose aux exhumations ?
Des proches souhaitant préserver le repos des défunts et des organisations d’« ultradroite ».
4. Quelles sont les zones potentiellement concernées ?
La Chapelle du Saint-Sacrement,les chapelles latérales et d’autres cryptes.
5. Combien de personnes reposent dans la basilique ?
Plus de 33 000 personnes issues des deux camps de la Guerre Civile.
Tableau Récapitulatif
| Aspect Clé | Détails |
| ——————- | ——————————————————————————————————————— |
| Objectif | Étendre les exhumations pour identifier et restituer les restes réclamés. |
| Zones Concernées | chapelle du Saint-Sacrement, chapelles latérales, autres cryptes. |
| Opposition | Proches, organisations d’« ultradroite ». |
| Restes Identifiés | Provenant de neuf localités depuis juin 2023. |
| Dépouilles Restituées | Vingt-neuf. |