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Bukele propose un échange Maduro : Vénézuéliens contre prisonniers

Voici une traduction et adaptation de l’article, respectant les consignes fournies :

proposition d’échange de prisonniers entre le Salvador et le Venezuela

Le président du Salvador a nié que les citoyens vénézuéliens détenus dans le center de confinement du terrorisme (CECOT) soient des prisonniers politiques. Il a affirmé que « beaucoup (…) ont tué, d’autres ont commis des violations, et certains avaient même été arrêtés plusieurs fois avant d’être expulsés ».

Le président salvadorien a accusé le président vénézuélien d’avoir des prisonniers politiques, affirmant que « la seule raison pour laquelle ils sont emprisonnés est d’avoir déjà contesté votre fraude électorale ».

Il a ensuite proposé un accord humanitaire : « la rapatriation de 100 % des 252 Vénézuéliens qui ont été expulsés, en échange de la libération et de la remise d’un nombre identique (252) des milliers de prisonniers politiques que vous maintenez ».

Cette déclaration répondait initialement au bureau du procureur général vénézuélien, qui affirmait que le président salvadorien « avouait » « garder kidnappés » 252 Vénézuéliens dans son pays.

« Kidnappés »

Le ministère public vénézuélien a qualifié le président salvadorien d’« exponente la plus fidèle du néo-fascisme du XXIe siècle », l’accusant de commettre, avec les États-Unis, « une grave violation du droit international, des droits de l’homme et un crime contre l’humanité qui imite les pratiques nazies dégoûtantes du milieu du xxe siècle ».

Le ministère public vénézuélien a demandé au gouvernement salvadorien de lui envoyer « immédiatement la liste complète avec l’identification de tous les kidnappés et leur statut judiciaire, ainsi que l’attestation de vie et le rapport médical de chacun ».

Selon le ministère public vénézuélien,« le fait que le CECOT n’est plus un centre de torture (…) pour sanctionner les criminels dans leur pays, mais un lieu de disparition forcée d’innocents de nationalité vénézuélienne est dégoûtant ».

Le président salvadorien a mentionné des noms d’opposants vénézuéliens actuellement emprisonnés ou subissant des pressions de l’État : « Parmi eux, Rafael Túbares, gendre d’Edmundo González ; le journaliste Roland Carreño ; l’avocate et militante Rocío San Miguel ».

Il a également évoqué « Mme corina Parisca de Machado,mère de María Corina Machado,qu’ils intimident quotidiennement et sabotent l’accès aux services de base tels que l’électricité et l’eau ; ainsi que les quatre dirigeants politiques hébergés à l’ambassade d’Argentine et d’autres prisonniers politiques vénézuéliens ».Une affaire aux États-Unis

Les 252 citoyens vénézuéliens actuellement au CECOT ont été expulsés des États-Unis et envoyés au Salvador par l’governance de l’ancien président américain, qui les accusait d’appartenir au groupe criminel Train d’aragua sans fournir de preuves.

Les États-Unis paient le Salvador pour maintenir ces personnes dans son centre de confinement.

L’ancien président américain avait envoyé ces personnes en vertu d’une loi de 1798, qui autorise le président à arrêter et à expulser les ressortissants de nations « ennemies » sans les procédures habituelles.

Cette loi n’avait été utilisée que trois fois auparavant, toutes en temps de guerre.

Proposition d’échange de prisonniers entre le Salvador et le Venezuela : Analyze des enjeux

Le président du Salvador a proposé un échange de prisonniers au Venezuela, plaçant ainsi l’attention sur les relations entre les deux pays et sur la situation des ressortissants vénézuéliens.

Contexte de l’échange de prisonniers proposé

Le président salvadorien a nié que les citoyens vénézuéliens détenus au Center de confinement du terrorisme (CECOT) soient des prisonniers politiques, arguant que certains sont impliqués dans des crimes.Il a contre-accusé le président vénézuélien de détenir des prisonniers politiques.

Il a proposé un accord humanitaire : la rapatriation des 252 Vénézuéliens expulsés par les États-Unis en échange de la libération d’un nombre égal de prisonniers politiques détenus au Venezuela. Cette proposition fait suite aux déclarations du bureau du procureur général vénézuélien qui accusait le Salvador de « kidnapper » ces citoyens.

Réactions et Accusations

Le ministère public vénézuélien a accusé le président salvadorien de néo-fascisme et de violations graves du droit international. Ils ont demandé au gouvernement salvadorien des informations détaillées sur les Vénézuéliens détenus.

Le président salvadorien a mentionné des noms d’opposants vénézuéliens en prison ou sous pression, comme Rafael Túbares, Roland Carreño et Rocío san Miguel. Il a également mentionné des cas de harcèlement contre des proches de personnalités politiques vénézuéliennes.

Le rôle des États-Unis

Les 252 Vénézuéliens détenus au CECOT ont été expulsés des États-unis sous l’management de l’ancien président américain. Ils étaient accusés d’appartenir au groupe criminel Train d’Aragua, sans preuve. Les États-Unis financent le maintien de ces personnes au Salvador. L’expulsion s’est basée sur une loi de 1798, rarement utilisée et ne nécessitant pas de procédure judiciaire.

Tableau récapitulatif

| Aspect de la situation | Description |

| :————————————— | :———————————————————————————————————————————————————————————————- |

| Proposition | Échange de 252 Vénézuéliens expulsés par les États-Unis contre 252 prisonniers politiques détenus au Venezuela. |

| position du Salvador | Négation de prisonnier politique, accusant certains détenus de crimes, accusant le Venezuela de détenir des prisonniers politiques. |

| Position du Venezuela | accusations de néo-fascisme, demande d’informations sur les détenus, dénonciation de « disparitions forcées ». |

| Rôle des États-Unis | Expulsion des 252 Vénézuéliens vers le Salvador, financement de leur détention, utilisation d’une loi de 1798 pour justifier l’expulsion sans procédure judiciaire. |

| Personnalités mentionnées | Rafael Túbares,Roland Carreño,Rocío San Miguel,et des proches de María Corina Machado. |

Foire aux questions (FAQ)

Pourquoi le Salvador propose-t-il un échange de prisonniers ? Pour obtenir la libération de prisonniers politiques vénézuéliens présumés,en échange de la libération des citoyens vénézuéliens détenus au Salvador.

Qui sont les Vénézuéliens détenus au Salvador ? Des citoyens expulsés des États-Unis, accusés de liens avec un groupe criminel, mais sans preuve fournie.

Quelle est la réaction du Venezuela ? Le Venezuela accuse le Salvador de violations des droits de l’homme et de néo-fascisme.

Quel est le rôle des États-Unis dans cette affaire ? Les États-unis ont expulsé les Vénézuéliens vers le Salvador et financent leur détention.

* quelle est la loi de 1798 ? Une loi américaine qui permet au président d’arrêter et d’expulser des ressortissants de nations « ennemies » sans procédure judiciaire.

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