L’émission a mis en lumière une application prometteuse,« Sag es auf Deutsch »,dédiée à l’apprentissage de l’allemand. Une investisseuse s’était montrée particulièrement enthousiaste, mais elle n’a finalement pas concrétisé son investissement.
L’intervention de Matthias Geenen et andrea Gößlinghoff a mis en évidence des réalités du terrain. Andrea,enseignante dans une école primaire en zone difficile,a décrit les défis quotidiens : classes surchargées,élèves en difficulté,manque de ressources. « Comment faire pour que tous les enfants reçoivent l’attention qu’ils méritent ? »
La solution proposée : « Sag es auf Deutsch », une application d’apprentissage de l’allemand langue étrangère. Cet « assistant numérique » permet aux élèves de progresser à leur rythme, pendant que l’enseignant s’occupe du reste de la classe. L’accueil a été favorable, avec une utilisation dans 1 500 écoles et un chiffre d’affaires de 600 000 euros l’année précédente.le duo a sollicité 70 000 euros en échange de 10 % des parts de leur entreprise.
Un investisseur s’est montré immédiatement intéressé. Il a même remis un chèque de 70 000 euros aux fondateurs, sans négociation.
Une autre investisseuse, initialement présentée comme co-investisseuse, a souligné son expérience personnelle du bilinguisme et son réseau, notamment dans le domaine politique.
Cependant, l’investisseur principal a confirmé avoir finalement réalisé l’investissement seul. « Cette vision claire et l’impact sociétal m’ont immédiatement convaincu. »
Interrogée, l’autre investisseuse a répondu : « L’accord n’a pas abouti. au final, il y avait des visions différentes de la collaboration. Nous souhaitons beaucoup de succès à l’investisseur et à ‘Sag es auf Deutsch’. »
Par le passé, cette investisseuse a souvent fait preuve de prudence.
“Sag es auf deutsch” : L’application d’apprentissage de l’allemand qui divise
Introduction
L’émission a révélé une application allemande prometteuse, “Sag es auf Deutsch”, conçue pour l’apprentissage de l’allemand. Malgré un engouement initial de plusieurs personnes intéressées, seul un investisseur a concrétisé son investissement.
La proposition et ses défis
Matthias Geenen et Andrea Gößlinghoff ont présenté une application innovante pour l’apprentissage de l’allemand langue étrangère. “Sag es auf Deutsch” fonctionne comme un “assistant numérique”, permettant aux élèves de progresser à leur propre rythme, alors que l’enseignant gère le reste de la classe. Cette application est déjà utilisée dans 1 500 écoles et a généré un chiffre d’affaires de 600 000 euros l’année précédente. Les fondateurs cherchaient un financement de 70 000 euros pour 10 % de leur entreprise.
Andrea, enseignante dans une école primaire en zone difficile, a souligné les enjeux quotidiens : classes surchargées, élèves en difficulté, manque de ressources et comment faire pour que tous les enfants reçoivent l’attention qu’ils méritent.
L’investissement et le désistement
L’enthousiasme était palpable. Un investisseur a remis un chèque de 70 000 euros sans négociation. Une autre investisseuse, initialement annoncée comme co-investisseuse, a également exprimé son intérêt, soulignant son expérience bilingue et son réseau. cependant, l’investisseur initial a finalement assumé seul l’investissement, motivé par la vision claire et l’impact sociétal de l’application. L’autre investisseuse a expliqué son désistement par des divergences en matière de collaboration.
Tableau Récapitulatif
| Caractéristique | Détails |
| :———————– | :————————————————– |
| Application | “Sag es auf Deutsch” |
| objectif | Apprentissage de l’allemand langue étrangère |
| Solution proposée | Assistant numérique pour l’apprentissage autonome |
| Chiffre d’affaires | 600 000 euros |
| Demande de financement | 70 000 euros pour 10 % des parts |
| Investisseurs principaux | Un seul investisseur |
| Désistement | Autres investisseurs : divergences de vision |
FAQ
Qu’est-ce que “Sag es auf Deutsch” ?
Une application pour l’apprentissage de l’allemand.
Quel est le montant du financement recherché ?
70 000 euros.
Qui a investi dans l’application ?
Un seul investisseur.
Pourquoi un autre investisseur ne s’est-il pas joint ?
Divergences de vision.
* Où est utilisée l’application ?
Dans 1 500 écoles.