Une suite en trois parties encadre l’album, accompagnée de sketches étranges et d’une narration bizarre, le chapitre final, « III. Country Song In Reverse »,se distinguant musicalement. On croirait entendre The mars Volta s’attaquant au mathcore, se déconstruisant avec une joie manifeste. un sentiment similaire se dégage de « Tears On Lambo Leather », bien que dans un format plus compact. Les expérimentations décalées sont également au rendez-vous, comme une brève insertion de muzak surgissant de nulle part, créant la confusion avant de replonger dans la folie. Dans « idiot Temptation Force », cette approche se transforme en pop avec un facteur de battage médiatique et des nuances emo au cœur de la tempête, tandis que la soupe primordiale de metalcore bouillonne tout autour.Ces instantanés contribuent à la grande force d’un album déjanté dans le bon sens du terme, qui ne vous lâche pas. Des excursions comme « Distracted By Mona Lisa » relient la folie à des mélodies accrocheuses. Un soupçon de Finch se mêle au refrain, le post-hardcore et le screamo entrent en collision avec une mélodie surdimensionnée. « Lemon », quant à lui, embrasse pleinement un style pop/rock, presque dansant et bizarre, rappelant les tentatives similaires de The Dillinger Escape Plan, qui ne souhaitaient pas non plus toujours perdre complètement la tête. « The Demon Of Unreality Limping Like A Dog » prend le relais, s’échappant à plusieurs reprises, devenant parfois accrocheur, rappelant Enter Shikari et trébuchant dans un magasin de porcelaine.
The callous Daoboys ont toujours été excentriques, mais à ce point ? Ils vont encore plus loin, car les moments accrocheurs se voient accorder beaucoup plus d’espace et s’implantent directement dans le subconscient. L’audace des ruptures de style soudaines et imprévisibles propulse « I Don’t Want To See You In Heaven ». Les parties math et core environnantes semblent d’autant plus furieuses et chaotiques, plus drastiques et plus dures à la fois. De plus, les refrains sont vraiment amusants et jouent habilement avec les idoles, la fugacité et l’héritage personnel.Près d’une heure de musique submerge complètement et attire dans un charme difficile à saisir, une autre œuvre captivante qui force l’admiration croissante.
Les Callous Daoboys : « I Don’t Want To See You in Heaven » – Critique et Analyze
Table of Contents
introduction : Le Chaos Controlé des Callous Daoboys
Le nouveau concept album des Callous Daoboys, « I Don’t want To See You In Heaven », est arrivé ! Le sextet américain nous emmène dans un futur dystopique, explorant des thèmes complexes avec une musique toujours plus audacieuse. cette critique explore les différentes facettes de cet album explosif.
FAQ : Vos Questions sur « I Don’t Want To See You in Heaven »
Q : Quel est le genre musical des Callous Daoboys ?
R : Principalement du metalcore, avec des influences mathcore, post-hardcore, screamo et pop/rock.
Q : De quoi parle l’album « I Don’t Want To See You In Heaven » ?
R : Il explore des thèmes de mégalomanie, d’espoir d’éternité et de la nature éphémère de l’existence, dans un cadre futuriste.
Q : Quelle est la particularité de cet album par rapport au précédent ?
R : « I Don’t Want To See You In Heaven » intègre davantage de mélodies accrocheuses et d’expérimentations musicales.
Q : Y a-t-il des morceaux marquants sur l’album ?
R : Plusieurs morceaux ressortent, dont « III. Country Song In Reverse », « Tears On Lambo leather », « idiot Temptation Force » et « Distracted By Mona Lisa ».
Q : Quelles sont les influences musicales des Callous Daoboys ?
R : Le texte cite des références à Teh Mars Volta, Finch, The Dillinger Escape Plan et Enter Shikari.
Q : L’album est-il facile d’accès ?
R : Non, il regorge de ruptures de style soudaines et imprévisibles, ce qui peut le rende déroutant au début, mais il offre une expérience enrichissante.
Analyse Album par Album : Un Voyage Musical
| Morceau | Description | Style(s) | Particularités |
|—|—|—|—|
| « III. Country Song In Reverse » | suite en trois parties, chapitre final | Mathcore/Expérimental | Rappelle The Mars Volta |
| « Tears On Lambo Leather » | Format plus compact | Expérimental | |
| « Idiot Temptation Force » | Metalcore fusionné avec de la pop et des nuances emo | Metalcore/Pop/Emo | |
| « Distracted by Mona Lisa » | Fusions mélodiques | Post-hardcore/Screamo | |
| « Lemon » | Embrasse un style pop/rock | Pop/Rock | Rappelle The Dillinger Escape Plan |
| « The Demon Of Unreality Limping Like A Dog » | Échappées sonores | Expérimental | Rappelle Enter shikari |