Les Jeunes Socialistes (Jusos) critiquent les décisions concernant la politique sociale et migratoire, notamment le rejet des demandeurs d’asile aux frontières. La question déterminante est la suivante : « Est-ce que ce qui est écrit dans ce contrat de coalition suffit, sur le fond, pour une politique vraiment différente ? ».« Et nous devons malheureusement dire : pour nous, cela ne suffit pas. » La réserve de financement inscrite dans le contrat est une « bombe à retardement ».
Quant à savoir si le rejet du contrat de coalition risque de provoquer de nouvelles élections à une époque où l’afd se renforce, il a été déclaré : « Le chemin vers de nouvelles élections, si l’on regarde notre Constitution, est très long et il existe encore de nombreuses autres options. Il y a par exemple la possibilité de renégocier. Nous voyons que la CDU rouvre elle-même des accords. Cela m’a beaucoup surpris, à mon avis c’est aussi une grave faute. Jens Spahn et Friedrich Merz contestent à nouveau le salaire minimum de 15 euros, ils se comportent un peu comme un éléphant dans un magasin de porcelaine. »
Il a également souligné que tous les membres étaient libres de prendre leur décision. Plusieurs fédérations régionales des Jusos avaient déjà critiqué les accords du contrat de coalition pendant le week-end et s’étaient prononcées contre une approbation, suivies d’autres en début de semaine.
Le chef du parti a déclaré à ce sujet : « Chacun a le droit de voter maintenant lors du vote des membres comme il ou elle le souhaite. C’est une décision démocratique. » Il doit être clair pour chacun quelle est l’alternative à l’échec d’une coalition du center démocratique. « Une alternative, ce sont de nouvelles élections, une alternative est peut-être un gouvernement minoritaire ». Mais avec tout ce qui se passe sur la scène mondiale, l’Allemagne doit être un lieu de stabilité.Pour cela, il faut un gouvernement stable.
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Les Jeunes Socialistes (Jusos) critiquent fermement les décisions prises concernant la politique sociale et migratoire, notamment le rejet des demandeurs d’asile aux frontières. Ils estiment que les propositions actuelles ne sont pas suffisantes pour garantir une politique réellement différente. La réserve de financement présente dans le contrat de coalition est considérée comme une « bombe à retardement ».
Les Jusos s’inquiètent de l’impact potentiel de la coalition actuelle, dans le contexte de la montée de l’AfD. Plusieurs questions se posent alors :
Les Jusos sont-ils satisfaits du contrat de coalition ? Non, ils jugent que ce qui est écrit dans le contrat de coalition ne suffit pas pour une politique différente.
Quelles sont les alternatives possibles en cas d’échec de la coalition ? Les options incluent de nouvelles élections ou un gouvernement minoritaire.
Risque de nouvelles élections et défis
Le texte souligne que le chemin vers de nouvelles élections est long, avec plusieurs options alternatives, comme la renégociation du contrat. La CDU rouvrant elle-même des accords est perçue comme une faute.
Tableau Récapitulatif
| Point Clé | Détails |
| :——————————————– | :———————————————————————————————————————– |
| Critiques des Jusos | Politique sociale et migratoire,rejet des demandeurs d’asile,insuffisance des propositions. |
| Évaluation du contrat de coalition | Jugé insuffisant pour une politique différente.|
| Alternatives en cas d’échec | Nouvelles élections ou gouvernement minoritaire. |
| Preocupations | Montée de l’AfD, la stabilité du gouvernement sont des préocupations. |
| Position du chef du parti | Les membres du parti sont libres de voter comme ils le souhaitent. |
FAQ
1. Quelle est la principale critique des Jusos ?
Les jusos critiquent les décisions en matière de politique sociale et migratoire, notamment le rejet des demandeurs d’asile.
2. Les Jusos soutiennent-ils le contrat de coalition actuel ?
Non, ils estiment que le contrat n’est pas suffisant pour une politique différente et qualifient la réserve de financement de “bombe à retardement”.
3.Quelles sont les alternatives possibles si la coalition échoue ?
De nouvelles élections ou un gouvernement minoritaire sont des possibilités.
4. Quelle est la position du chef du parti vis à vis du vote ?
Il estime que chacun est libre de voter, c’est une décision démocratique.