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Sans aide face aux problèmes

Le changement d’entraîneur n’a servi à rien, et le matelas de sécurité par rapport à la relégation n’est qu’un voile illusoire.

Le changement sur le banc de touche, opéré malgré l’avis du directeur sportif, n’a absolument rien apporté. Choisir un entraîneur pour apaiser les supporters au lieu de fonder la décision sur des critères sportifs est une erreur de plus pour un club à la dérive. Le club se concentre sur des distractions, espérant que l’attention se détourne, se cachant derrière des figures de proue.

L’opportunité de se sauver avec un calendrier favorable (Alavés, Osasuna et Leganés) a été manquée. Le club entre dans la dernière ligne droite avec un risque réel de relégation.Un risque palpable. Un sauve-qui-peut commence à s’installer dans les esprits et dans les jambes des joueurs. Des erreurs grossières, indignes. Un ballon renvoyé en catastrophe par Leganés dans les arrêts de jeu pourrait valoir le maintien pour Séville. Ou peut-être même pas. La victoire contre Las Palmas est vitale, car les points face au Celta, au Real Madrid et à Villarreal sont presque considérés comme perdus. Il faut prendre ces trois points et espérer que les autres équipes ne prennent pas beaucoup de points. Un supplice.

après avoir prôné l’union et appelé à une trêve, l’image de l’équipe était loin de refléter le soutien de ses supporters. Ces derniers ne sifflaient personne, se retenaient, jusqu’au coup de sifflet final, exprimant leur mécontentement envers les dirigeants, mais sans grande conviction. Découragés et désespérés, ils acceptent la dure réalité et baissent la tête comme jamais auparavant, acceptant la sentence, ce qui est inhabituel pour les supporters de Séville. Il est étrange de dire cela avec six points d’avance et douze points à prendre. Mais il n’y a pas pire aveugle que celui qui refuse de voir ce qui arrive. Séville est un mort en sursis.Le club,nerveux de la direction au banc de touche,n’accepte pas que son heure soit passée et qu’il n’aurait pas dû monter à bord pour servir de bouclier aux dirigeants. L’attachement de Joaquín Caparrós à Séville l’a emporté. L’environnement toxique du club n’a pas voulu contredire la décision du “chef suprême”. Mieux vaut ne pas se fâcher avec celui qui vous nourrit. Pendant ce temps, Joaquín souffre de voir que, malgré tous ses efforts, son équipe ne répond pas. Dépassé. Avec des leçons sur la façon d’être un supporter de Séville que personne ne lui a demandées et qui n’intéressent personne. Personne n’est supporter à la carte. Personne. Un homme du peuple comme Caparrós ne peut pas entrer dans ce jeu dangereux, en faisant le sale boulot des dirigeants.

Il reste la question des responsabilités de Víctor Orta. Il voulait que Pimienta continue. Échec. C’est la énième fois que certaines de ses décisions et indications sont désavouées. Des décisions importantes. C’est à lui de juger s’il peut travailler de cette manière, même si son patron le couvre publiquement. Il planifie la saison prochaine avec des moyens limités, cherchant des entraîneurs et recrutant des joueurs, tout en pensant que Séville restera en première division.Reste à voir. Malgré les tentatives de nier la peur, le club est en panique. Totale. Il est comme le TGV : à l’arrêt et sans personne pour assumer la responsabilité de faire fonctionner une entité qui était autrefois un modèle et qui est aujourd’hui la risée du football espagnol. Une ambiance morose, avec la joie du voisin qui plane, ce qui compte dans le cœur des supporters. Mai se présente sous un voile noir d’insécurité, d’échec et de crainte d’une relégation historique, 25 ans après la dernière chute en deuxième division. Soit Séville se réveille et est accompagné par la chance et un demi-miracle (comme le but manqué par Leganés), soit cette saison restera dans les mémoires comme l’aboutissement d’un plan machiavélique coordonné par les grandes familles qui ont soutenu Séville et qui n’ont pas voulu se rendre compte que leur temps était révolu, en plus de leurs ambitions démesurées d’argent, conduisant à l’enterrement du plus beau des rêves vécus : du meilleur Séville FC de l’histoire, à un club ruiné, en faillite et sans personne pour le protéger.

Séville FC au bord du gouffre : Analyze et FAQ

Introduction

L’analyse suivante décortique la situation critique du Séville FC, marquée par l’inefficacité du changement d’entraîneur, une menace de relégation imminente et des tensions profondes au sein du club et parmi les supporters.

Analyse de la situation

Le club est en challengingé, en proie à des problèmes sportifs, de gestion et d’ambiance. Le changement d’entraîneur n’a pas produit les résultats escomptés,et le club semble se diriger vers une relégation potentiellement historique.Les décisions prises, notamment le choix d’un entraîneur axé sur l’apaisement des supporters plutôt que sur des critères sportifs, sont critiquées. Le manque de succès contre des équipes supposément abordables (Alavés,Osasuna,Leganés) a exacerbé la situation.

Conséquences et précisions

L’atmosphère au sein du club est lourde et la panique s’installe. les supporters,traditionnellement fervents,expriment leur mécontentement envers les dirigeants,mais semblent impuissants et résignés.Le club semble se cacher derrière des figures de proue, détournant l’attention des problèmes réels. Víctor Orta, le directeur sportif, est critiqué pour ses décisions, notamment son remplacement d’entraîneur, son choix étant systématiquement désavoué.

Tableau récapitulatif : Points clés

| Aspect | Description | Conséquences |

|—|—|—|

| Changement d’entraîneur | Inefficace et basé sur des motivations autres que sportives. | N’a pas amélioré les performances de l’équipe. |

| Situation sportive | Risque de relégation imminent,calendrier difficile.| Panique, baisse de moral des joueurs, résignation des supporters. |

| Direction du club | Décisions contestées, manque de stratégie claire, gestion de crise. | Atmosphère toxique, mécontentement généralisé. |

| Supporters | Déçus, résignés, leur soutien est limité. | Perte de foi et d’espoir. |

FAQ : Questions fréquemment posées sur la situation du Séville FC

Q: Pourquoi le changement d’entraîneur a-t-il échoué?

R: Le changement d’entraîneur n’a pas été basé sur des critères sportifs,mais sur l’apaisement des supporters.

Q: Quelle est la principale menace pour le Séville FC?

R: Le risque de relégation en deuxième division.

Q: Comment les supporters réagissent-ils?

R: Les supporters sont découragés et résignés.

Q: Qui est critiqué au sein du club?

R: les dirigeants du club, notamment le directeur sportif Víctor Orta.

Q: Quelles sont les prochaines échéances importantes?

R: Les matchs restants de la saison, en particulier les matchs contre Las Palmas, le Celta, le Real Madrid et Villarreal.

Q: Quel est l’état d’esprit au sein du club?

R: La panique s’installe.

Q: quel est le rôle de Joaquín Caparrós dans cette crise?

R: Malgré tous ses efforts, l’équipe ne répond pas. Dépasse. Caparros ne souhaitait pas prendre cette responsabilité.

Q: Quelles sont les perspectives pour la saison prochaine?

R : Le directeur sportif planifie la saison prochaine avec des moyens limités.

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