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Manifeste CERMI : Journée ONU 2025

Journée nationale en Espagne de la Convention internationale relative aux droits des personnes handicapées

« Pour une intelligence artificielle éthique et respectueuse des droits fondamentaux des personnes handicapées »

Manifeste

Le 3 mai marque la Journée nationale en Espagne de la Convention internationale relative aux droits des personnes handicapées. Cette date commémore l’entrée en vigueur de ce traité international, soulignant l’importance de la reconnaissance et de la promotion des droits des personnes handicapées. L’objectif de cette journée est de sensibiliser et de favoriser une prise de conscience collective sur la place des personnes handicapées au sein de la société, en tant que partie intégrante et précieuse de la diversité humaine.

Le monde connaît une expansion rapide de l’intelligence artificielle (IA), utilisée par les individus, les entreprises et les institutions. Cette technologie influence l’automatisation des décisions et les technologies d’IA génératives. Bien que ces innovations offrent des avantages considérables, des préoccupations concernant les impacts discriminatoires et les violations des droits sont soulevées. La propagation de stéréotypes via l’IA représente une menace pour une société inclusive.

Le manque de transparence constitue un obstacle majeur. L’opacité des modèles d’IA est exacerbée par les lois sur la propriété intellectuelle et l’absence d’une gouvernance démocratique partagée.

Les Nations Unies alertent sur les risques et les opportunités de l’IA. Il est crucial d’approfondir le débat sur les problèmes spécifiques affectant les personnes handicapées dans l’exercice de leurs droits.

Ce manifeste vise à exposer les dangers potentiels de ces technologies pour les personnes handicapées et à souligner la nécessité de placer leurs droits au center des discussions sur l’IA. Les avantages de l’IA ne pourront être pleinement exploités qu’après une évaluation adéquate des risques, basée sur les droits humains.Les systèmes d’IA doivent respecter et promouvoir les droits des personnes handicapées, conformément aux traités internationaux, notamment la Convention internationale relative aux droits des personnes handicapées, la Convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes, la Convention-cadre du Conseil de l’Europe sur l’intelligence artificielle et les droits de l’homme, la démocratie et l’État de droit, le règlement de l’Union européenne sur l’intelligence artificielle et la Charte des droits numériques.

L’IA ne doit pas servir à violer les droits des personnes handicapées, en particulier des femmes et des filles handicapées. Une attention particulière doit être accordée aux enfants et adolescents handicapés, particulièrement vulnérables à la violence et aux violations de droits. Les droits et obligations concernent l’accessibilité, la vie privée, l’autonomie, la vie indépendante, l’emploi, l’éducation, la santé et la garantie d’égalité et de non-discrimination.

Ces systèmes doivent lutter contre la discrimination et garantir l’inclusion des personnes handicapées, en tenant compte des risques d’exclusion liés au sexe, à l’âge, au handicap et à d’autres facteurs sociaux tels que la race, l’ethnie, la religion, l’orientation sexuelle, l’identité de genre ou le niveau socio-économique.

La fracture numérique constitue un obstacle majeur à l’inclusion des personnes handicapées dans ces systèmes. Les données massives sont essentielles au fonctionnement de l’IA. Le manque de données désagrégées sur les personnes handicapées entraîne une sous-représentation ou une invisibilité dans les données d’entraînement,de validation et de test,ainsi que dans les résultats des systèmes d’IA. Il est donc essentiel de veiller à ce que ces systèmes ne renforcent pas les biais discriminatoires ou ne créent pas de nouveaux biais algorithmiques, conscients ou inconscients, qui pourraient influencer la prise de décision dans divers domaines des politiques publiques, avec un impact sur les droits fondamentaux des personnes handicapées.

Toutes les étapes et composantes de ces systèmes doivent être transparentes et compréhensibles, permettant de questionner leur fonctionnement. Les personnes handicapées doivent avoir accès à l’data sur la mise en œuvre de chaque phase d’un système, sur les facteurs influençant les prédictions ou les décisions, et sur les ensembles de données utilisés.

Les personnes handicapées doivent recevoir des informations accessibles sur chaque composant de ces systèmes et être informées de leur interaction avec ceux-ci.Il est crucial de garantir la supervision humaine des systèmes et d’encourager la participation active des personnes handicapées et des organisations qui les représentent.Il est également essentiel de corriger l’invisibilité des femmes handicapées dans les ensembles de données utilisés pour la base, l’entraînement et la validation des systèmes d’IA.

Il ne faut pas négliger les impacts environnementaux de l’IA, sa forte consommation d’énergie et la nécessité de les minimiser, en privilégiant une utilisation responsable de cette technologie sur les plans social et environnemental. Rien ne sera smart ni durable si l’on exclut le social et la viewpoint du handicap.

L’État doit jouer un rôle central dans la régulation et le contrôle de ces systèmes, en veillant à ce que la législation établisse des obligations claires pour le développement, l’submission et le contrôle de l’IA, dans le respect des droits humains et de la non-discrimination.

« Pour une intelligence artificielle éthique et respectueuse des droits fondamentaux des personnes handicapées »
Manifeste

Pour une intelligence artificielle éthique et respectueuse des droits fondamentaux des personnes handicapées

Le monde connaît une croissance accélérée de l’utilisation de l’intelligence artificielle (IA) par les individus, les entreprises, les institutions et les États. Cette technologie influence de plus en plus l’automatisation de la prise de décisions grâce à l’apprentissage automatique et aux technologies d’IA génératives via l’apprentissage profond. Ces innovations peuvent apporter de grands avantages, mais des impacts discriminatoires, se traduisant par des violations de droits, sont également identifiés et dénoncés. La génération de stéréotypes dans tous les domaines via l’IA constitue une menace pour une société inclusive et diverse.

Le manque de transparence représente un obstacle aux droits fondamentaux. L’opacité des modèles et systèmes d’IA est accentuée par les lois sur la propriété intellectuelle, les accords commerciaux internationaux qui masquent les conceptions discriminatoires intégrées, et l’absence d’une gouvernance démocratiquement partagée.

Les organismes spécialisés des Nations Unies alertent depuis plusieurs années sur l’équilibre entre les risques et les opportunités de l’IA. Une conscience croissante existe quant aux défis que ces technologies peuvent représenter pour les droits humains et l’éthique.Il est temps d’approfondir le débat sur les problèmes concrets affectant les personnes handicapées dans l’exercice de leurs droits.

Ce manifeste vise à exposer certains dangers que ces technologies peuvent représenter pour les personnes handicapées et à souligner que leurs droits doivent occuper une place centrale dans les débats sur ces innovations. Tant que ces risques ne seront pas évalués de manière adéquate et dans une perspective de droits humains, il ne sera pas possible de profiter pleinement des avantages pratiques de l’IA.

Les systèmes d’IA et les technologies génératives doivent respecter, protéger et promouvoir les droits humains des personnes handicapées, conformément aux traités internationaux relatifs aux droits humains, notamment la Convention relative aux droits des personnes handicapées, la Convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes, la Convention-cadre du Conseil de l’Europe sur l’intelligence artificielle et les droits de l’homme, la démocratie et l’État de droit, le règlement de l’Union européenne sur l’intelligence artificielle et la Charte des droits numériques.

Il ne peut y avoir de systèmes d’IA qui servent à violer les droits des personnes handicapées, en général, et des femmes et des filles handicapées, en particulier. Une attention particulière doit être accordée aux enfants et adolescents handicapés, en tant que groupes particulièrement exposés à la violence et à d’autres formes de violation des droits. Les droits et obligations pertinents comprennent, entre autres, l’accessibilité, la vie privée, l’autonomie, la vie indépendante, l’emploi, l’éducation, la santé et, en particulier, la garantie générale d’égalité et de non-discrimination.

Ces systèmes doivent être des outils utiles pour lutter contre toute forme de discrimination et garantir la diversité et l’inclusion de toutes les personnes handicapées, avec une attention particulière aux personnes les plus exposées au risque d’exclusion en raison de l’intersection du sexe, de l’âge et du handicap avec d’autres facteurs d’exclusion sociale tels que la race ou l’origine ethnique, la religion ou les convictions, l’orientation et l’identité de genre, la ruralité ou le niveau socio-économique.

La fracture numérique, dans ses différentes dimensions, est le principal obstacle à l’inclusion des personnes handicapées dans ces systèmes.Les données à grande échelle sont essentielles au fonctionnement des outils d’IA. Le manque de données désagrégées sur les personnes handicapées implique une moindre représentation ou l’invisibilité de ces personnes dans les données d’entraînement, de validation et de test, ainsi que dans les résultats des systèmes d’IA. il est donc essentiel de veiller à ce que ces systèmes n’augmentent pas les biais discriminatoires ou ne contribuent pas à créer de nouveaux biais algorithmiques, conscients ou inconscients, qui peuvent conditionner la prise de décisions dans divers domaines des politiques publiques, avec un impact conséquent sur les droits fondamentaux des personnes handicapées.

Toutes les étapes et tous les composants de ces systèmes doivent être transparents, faciles à comprendre et permettre à tout moment de poser des questions sur leur fonctionnement. Les personnes handicapées doivent pouvoir accéder à l’information sur la manière dont chaque phase d’un système est mise en œuvre,sur les facteurs qui influencent la prédiction ou d’autres décisions créées à partir de celui-ci,et sur les ensembles de données utilisés.

Les personnes handicapées doivent recevoir des informations, dans des formats universellement accessibles, sur chacun des composants de ces systèmes, et savoir à tout moment qu’elles interagissent avec eux.Il est crucial de garantir la supervision humaine des systèmes et de favoriser la participation active des personnes handicapées, ainsi que des entités qui les représentent. Il est également essentiel d’inverser l’invisibilité des femmes handicapées dans les ensembles de données utilisés pour la base, l’entraînement et la validation des systèmes d’IA.

il ne faut pas négliger les impacts environnementaux importants, les énormes consommations d’énergie de l’IA, et la nécessité de les minimiser, en plaidant pour une utilisation de cette technologie qui soit responsable sur le plan social et environnemental.Rien ne sera intelligent ni durable si l’on exclut le social et la perspective du handicap.

L’État doit assumer un rôle central dans la réglementation et le contrôle de ces systèmes, en veillant à ce que la législation établisse des obligations claires pour le développement, l’application et le contrôle de l’IA, avec une approche fondée sur les droits humains et la non-discrimination.

Manifeste pour la Journée Nationale et la Convention de l’ONU

Le manifeste suivant met en lumière des enjeux cruciaux. Il appelle à une action concertée. Il vise à améliorer la vie des personnes concernées.

Ce document souligne l’importance de l’inclusion. Il met en avant la nécessité de garantir les droits fondamentaux. Il insiste sur l’impératif d’une société plus juste et équitable.

Les points clés abordés incluent :

L’accessibilité universelle. L’autonomie personnelle.
* La participation pleine et entière à la vie sociale.

Ce manifeste est un appel à l’action. Il invite chacun à s’engager activement. Il encourage à construire un avenir meilleur pour tous.

Pour une intelligence artificielle éthique et respectueuse des droits fondamentaux des personnes handicapées

Le monde connaît une croissance accélérée de l’utilisation de l’intelligence artificielle (IA) par les individus,les entreprises,les institutions et les États.Cette technologie influence de plus en plus l’automatisation de la prise de décisions grâce à l’apprentissage automatique et aux technologies d’IA génératives via l’apprentissage profond. Ces innovations peuvent apporter de grands avantages, mais des impacts discriminatoires, se traduisant par des violations de droits, sont également identifiés et dénoncés. La génération de stéréotypes dans tous les domaines via l’IA constitue une menace pour une société inclusive et diverse.

Le manque de transparence représente un obstacle aux droits fondamentaux. L’opacité des modèles et systèmes d’IA est accentuée par les lois sur la propriété intellectuelle, les accords commerciaux internationaux qui masquent les conceptions discriminatoires intégrées, et l’absence d’une gouvernance démocratiquement partagée.

Les organismes spécialisés des Nations Unies alertent depuis plusieurs années sur l’équilibre entre les risques et les opportunités de l’IA. Une conscience croissante existe quant aux défis que ces technologies peuvent représenter pour les droits humains et l’éthique. Il est temps d’approfondir le débat sur les problèmes concrets affectant les personnes handicapées dans l’exercice de leurs droits.

Ce manifeste vise à exposer certains dangers que ces technologies peuvent représenter pour les personnes handicapées et à souligner que leurs droits doivent occuper une place centrale dans les débats sur ces innovations. Tant que ces risques ne seront pas évalués de manière adéquate et dans une viewpoint de droits humains, il ne sera pas possible de profiter pleinement des avantages pratiques de l’IA.

Les systèmes d’IA et les technologies génératives doivent respecter, protéger et promouvoir les droits humains des personnes handicapées, conformément aux traités internationaux relatifs aux droits humains, notamment la Convention relative aux droits des personnes handicapées, la convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes, la Convention-cadre du Conseil de l’Europe sur l’intelligence artificielle et les droits de l’homme, la démocratie et l’État de droit, le règlement de l’Union européenne sur l’intelligence artificielle et la Charte des droits numériques.

Il ne peut y avoir de systèmes d’IA qui servent à violer les droits des personnes handicapées, en général, et des femmes et des filles handicapées, en particulier. Une attention particulière doit être accordée aux enfants et adolescents handicapés,en tant que groupes particulièrement exposés à la violence et à d’autres formes de violation des droits. Les droits et obligations pertinents comprennent, entre autres, l’accessibilité, la vie privée, l’autonomie, la vie indépendante, l’emploi, l’éducation, la santé et, en particulier, la garantie générale d’égalité et de non-discrimination.

Ces systèmes doivent être des outils utiles pour lutter contre toute forme de discrimination et garantir la diversité et l’inclusion de toutes les personnes handicapées, avec une attention particulière aux personnes les plus exposées au risque d’exclusion en raison de l’intersection du sexe, de l’âge et du handicap avec d’autres facteurs d’exclusion sociale tels que la race ou l’origine ethnique, la religion ou les convictions, l’orientation et l’identité de genre, la ruralité ou le niveau socio-économique.

La fracture numérique, dans ses différentes dimensions, est le principal obstacle à l’inclusion des personnes handicapées dans ces systèmes. Les données à grande échelle sont essentielles au fonctionnement des outils d’IA. Le manque de données désagrégées sur les personnes handicapées implique une moindre représentation ou l’invisibilité de ces personnes dans les données d’entraînement, de validation et de test, ainsi que dans les résultats des systèmes d’IA. il est donc essentiel de veiller à ce que ces systèmes n’augmentent pas les biais discriminatoires ou ne contribuent pas à créer de nouveaux biais algorithmiques, conscients ou inconscients, qui peuvent conditionner la prise de décisions dans divers domaines des politiques publiques, avec un impact conséquent sur les droits fondamentaux des personnes handicapées.

Toutes les étapes et tous les composants de ces systèmes doivent être transparents, faciles à comprendre et permettre à tout moment de poser des questions sur leur fonctionnement. Les personnes handicapées doivent pouvoir accéder à l’data sur la manière dont chaque phase d’un système est mise en œuvre, sur les facteurs qui influencent la prédiction ou d’autres décisions créées à partir de celui-ci, et sur les ensembles de données utilisés.

Les personnes handicapées doivent recevoir des informations, dans des formats universellement accessibles, sur chacun des composants de ces systèmes, et savoir à tout moment qu’elles interagissent avec eux. Il est crucial de garantir la supervision humaine des systèmes et de favoriser la participation active des personnes handicapées, ainsi que des entités qui les représentent. Il est également essentiel d’inverser l’invisibilité des femmes handicapées dans les ensembles de données utilisés pour la base, l’entraînement et la validation des systèmes d’IA.

Il ne faut pas négliger les impacts environnementaux importants, les énormes consommations d’énergie de l’IA, et la nécessité de les minimiser, en plaidant pour une utilisation de cette technologie qui soit responsable sur le plan social et environnemental.Rien ne sera intelligent ni durable si l’on exclut le social et la perspective du handicap.

L’État doit assumer un rôle central dans la réglementation et le contrôle de ces systèmes, en veillant à ce que la législation établisse des obligations claires pour le développement, l’request et le contrôle de l’IA, avec une approche fondée sur les droits humains et la non-discrimination.

FAQ sur l’IA et les Droits des Personnes Handicapées

Q : Quels sont les principaux risques de l’IA pour les personnes handicapées ?

R : Discrimination, violation des droits, génération de stéréotypes, manque de transparence et fracture numérique.

Q : Quels droits doivent être protégés dans le contexte de l’IA ?

R : Accessibilité, vie privée, autonomie, vie indépendante, emploi, éducation, santé, égalité et non-discrimination.

Q : Que signifie la “fracture numérique” pour les personnes handicapées ?

R : Un obstacle majeur à l’inclusion, car le manque d’accès aux technologies et aux données limite leur participation.

Q : Comment garantir la transparence des systèmes d’IA ?

R : En rendant toutes les étapes et composants compréhensibles et en offrant un accès facile à l’information, des ensembles de données utilisés.

Q : Quel rôle l’État doit-il jouer ?

R : Réglementer et contrôler les systèmes d’IA en veillant au respect des droits humains et de la non-discrimination.

Q : Comment impliquer les personnes handicapées dans le développement de l’IA ?

R : En garantissant la supervision humaine, leur participation active, et celle des organisations qui les représentent.

Q : Pourquoi les données sont-elles importantes ?

R : Les données désagrégées sur les personnes handicapées sont essentielles pour une représentation juste et éviter les biais discriminatoires dans les systèmes d’IA.

Q : Quels traités internationaux soutiennent ce manifeste ?

R : Convention relative aux droits des personnes handicapées, Convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes, etc.

Q : Comment l’IA peut-elle être utilisée de manière positive pour les personnes handicapées ?

R : Non mentionné spécifiquement dans le texte,mais l’idée générale est que si elle est gérée éthiquement,elle pourrait offrir des avantages.

Tableau Récapitulatif : Défis et Solutions pour l’IA et le Handicap

| Problème | Impact | Solution |

| ————————————– | —————————————————————————– | ——————————————————————————— |

| Biais et Discrimination | Exacerbation des inégalités, violation des droits | Transparence, données désagrégées, supervision humaine, participation des personnes handicapées |

| manque de Transparence | Toughé de comprendre et de contester les décisions des systèmes d’IA | Accès aux informations, explication des facteurs d’influence, participation |

| Fracture Numérique | Exclusion des personnes handicapées | Accessibilité universelle, formation, développement de compétences numériques |

| Manque de données | Sous-représentation, biais algorithmiques; | Collecte de données inclusives et structurées; |

| Impacts environnementaux | Consommation d’énergie | Solutions durables et respectueuses de l’environnement |

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