Voici une traduction du texte fourni, avec une attention particulière à la clarté et à la fluidité :
Le Trésor américain et les États du Golfe : Une relation dangereuse selon Téhéran
Un journal iranien a publié un article accusant les États du Golfe de financer indirectement une guerre qui menace leur propre sécurité, leurs économies et leurs populations, en investissant massivement dans les obligations du Trésor américain, que ce soit par le biais de fonds souverains, de banques centrales ou de sociétés d’investissement privées.
Le journal iranien décrit les États du Golfe comme des « partenaires financiers » dans une guerre qui menace la sécurité de leur pays, de leurs économies et de leurs peuples. Selon le Téhéran News, leurs milliards ont soutenu « directement » des armes, des services logistiques et des infrastructures actuellement utilisés pour atteindre les objectifs iraniens.L’article cite spécifiquement les Émirats arabes unis, l’Arabie saoudite, le Koweït, le Qatar et Bahreïn.
L’article commence par les ÉAU, affirmant que l’alliance d’Abu Dhabi avec Washington ne se limite pas à la diplomatie, mais inclut également un effort de guerre conjoint.
L’article souligne qu’Abu Dhabi détient plus de 120 milliards de dollars en obligations du Trésor américain, fonds qui auraient contribué à « financer le développement de munitions de précision, d’avions furtifs et de porte-avions marins qui se sont maintenant répandus dans le Golfe. »
Le journal iranien décrit également l’Arabie saoudite comme « l’un des plus grands financiers étrangers de la dette américaine, avec une valeur d’environ 126 à 130 milliards de dollars », avertissant que la Banque centrale saoudienne « pourrait désormais se retrouver dans la ligne de mire de frappes de représailles. »
Il ajoute que le Fonds public d’investissement saoudien « est lié à de fortes relations » avec le Pentagone,où des opérations militaires américaines « de longue date » dans la région ciblent des groupes soutenus par l’Iran tels que le Hezbollah et les Houthis.
Le journal place également le Koweït au center du danger, affirmant que sa banque centrale détient 49 milliards de dollars en obligations du Trésor américain.
Quant au Qatar et à Bahreïn, ils maintiennent des « centres stratégiques » dans les titres du gouvernement américain, « bien que leurs allocations précises soient encore moins transparentes. »
L’article mentionne d’autres institutions financières non gouvernementales du Golfe qui allouent leur capital aux obligations du Trésor américain dans le cadre de leurs stratégies de gestion de la liquidité et des risques, telles que Dubai International Capital, Bahraini Bank, Saudi Al-Rajhi Bank et Bahraini ABC Bank.
L’article se concentre sur certaines entités et individus, qui sont « une cible de grande valeur dans toute escalade », et ils doivent « prendre des mesures immédiates ». Il s’agit de : « Abu Dhabi Investment Agency », « Mubadala Investment Company » et Real Fays for Financial Technology, aux Émirats, ainsi que le « Saudi Public Investment Fund » et « Qatar Investment Authority ».
Le journal iranien met également en garde les institutions internationales telles que « State Street » et « Black Rock », qui « permettent aux investisseurs du Golfe d’accéder aux obligations du Trésor américain », ce qui les transforme en réalité en financiers participant à la guerre. »
l’article exhorte à un retrait immédiat des marchés obligataires du Trésor américain, en gelant les investissements dans les titres du gouvernement américain et en dirigeant les capitaux vers des investissements sûrs et non militaires.
Les frappes israéliennes conduisent-elles à des résultats inversés ?
Le journal américain “Washington Post” publie un éditorial s’interrogeant sur les conséquences de l’attaque israélienne contre l’Iran, avertissant qu’elle pourrait conduire à des résultats contraires à ceux escomptés.
L’article estime que la plupart des premiers indicateurs suggèrent que l’attaque d’Israël contre le program nucléaire iranien et ses dirigeants militaires a été un « grand succès ». Cependant, il soulève de nombreuses questions sans réponse et suscite de longues craintes quant à ce qui pourrait arriver par la suite, et quant à l’implication de Washington dans une guerre non désirée.L’article explique que ces préoccupations dépendent de plusieurs facteurs « encore inconnus à ce jour », notamment la capacité de Téhéran à construire des dispositifs centrifuges avancés, et l’existence éventuelle d’autres sites cachés enfouis dans les profondeurs de la Terre, comme l’installation de Fordo.
À la suite de la frappe israélienne, l’Iran pourrait décider d’accélérer la production de centrifugeuses, selon les préoccupations de l’article, et pourrait décider de se retirer du traité de non-prolifération nucléaire ou d’expulser les inspecteurs de l’AIEA.
Cela donnerait à Téhéran la possibilité de « cacher pleinement son programme nucléaire », et l’attaque israélienne pourrait renforcer l’intention de l’Iran de développer une arme nucléaire « comme moyen de dissuasion contre de futures attaques, mais cette fois de manière plus secrète. »
Les frappes israéliennes pourraient également conduire à un « soutien national » au régime iranien au lieu de l’affaiblir comme prévu.D’un autre côté, il y a un « manque de transparence » concernant le rôle des États-Unis dans le raid israélien, d’autant plus que le tweet de Trump contredit les déclarations du sénateur Marco Rubio selon lesquelles Washington n’a pas été impliqué et qu’Israël a agi individuellement, dans le but d’éviter une riposte américaine dans la région.
Bien que l’article estime qu’Israël a lancé son attaque « au bon moment », il exprime son inquiétude quant au mystère qui entoure le « plan du jour suivant » et l’étendue de l’intervention américaine.
l’article exhorte le président américain à empêcher son pays d’envoyer des forces américaines dans des « guerres éternelles » au Moyen-Orient et à résister à l’escalade vers une nouvelle guerre.
L’hypocrisie de la politique occidentale dans sa vision du monde
(Le texte s’arrête ici, donc je ne peux pas traduire cette section.)