Un restaurateur renommé a ouvert son premier établissement dans les années 1970. son groupe compte aujourd’hui plusieurs dizaines de filiales à travers le pays, employant un personnel important.
Dans une interview, il explique que les entrepreneurs prospères doivent être des modèles.
Son entreprise ressent la pénurie de main-d’œuvre qualifiée. Dans la restauration, il est difficile de trouver du personnel parlant couramment la langue.
Un restaurateur bien connu exploite des établissements dans plusieurs villes. Dans une interview, il partage sa vision de l’entrepreneuriat, la recherche de personnel qualifié et son opinion sur la semaine de quatre jours.
Un bon entrepreneur doit être un modèle
Table of Contents
- Un bon entrepreneur doit être un modèle
- La semaine de quatre jours ne fonctionne pas, cinq jours sont presque insuffisants
- À propos de la génération Z: « La jeune génération n’est pas Le restaurateur et son entreprise : Vision, défis et succès
- Un entrepreneur exemplaire
- La semaine de quatre jours ? Presque insuffisante…
- À propos de la génération Z
Il a ouvert son premier établissement dans les années 1970. Aujourd’hui, son entreprise compte plusieurs filiales et emploie environ 1500 personnes. Il est encore présent quotidiennement dans ses établissements.
Son succès repose sur son ambition d’être meilleur que les autres. Il a commencé à collecter des métaux pour gagner de l’argent et a toujours commencé plus tôt que ses concurrents pour avoir le meilleur choix. Il est critically important d’être juste et respectueux envers les autres.
« Tu as besoin d’un bon instinct pour que ton idée fonctionne. Tu dois savoir calculer et être économe ».
Il est important d’être un modèle en commençant le travail tôt et en terminant tard.
La semaine de quatre jours ne fonctionne pas, cinq jours sont presque insuffisants
Il ressent la pénurie de main-d’œuvre qualifiée dans son entreprise. Dans la restauration, il est difficile de trouver du personnel parlant couramment la langue.Son approche est de payer des salaires plus élevés que la concurrence. Au lieu des salaires horaires,il paie les salaires « en fonction des performances ».