Une femme de 42 ans a été condamnée à deux ans de prison pour avoir foncé sur un policier et l’avoir transporté sur plus de 200 mètres sur le capot de sa voiture. Un juge a pris cette décision après avoir appris que la victime se réveillait chaque matin avec des douleurs.
La prévenue a plaidé coupable devant le tribunal pénal de Cork pour avoir mis en danger un policier. Elle a intentionnellement conduit sa voiture sur le policier, l’a projeté sur le capot et a continué à rouler sur une certaine distance, créant un risque crucial de mort ou de blessures graves.
Un policier a déclaré au tribunal que la victime était hors service, mais portait des éléments de son uniforme. Il circulait dans un village lorsqu’il a été heurté par une voiture.Le véhicule ne s’est pas arrêté, alors il l’a poursuivi.
Le policier a rattrapé la voiture et « est sorti de son véhicule et s’est approché de la voiture où se trouvaient deux hommes et une femme. Il s’est identifié comme policier et les deux hommes, qui ne l’ont pas cru, l’ont agressé », a déclaré le policier.
« La femme est montée sur le siège du conducteur et a essayé de s’enfuir. Le policier s’est tenu devant la voiture et lui a ordonné de ne pas démarrer. Elle a foncé droit sur lui,l’a projeté sur le capot et a roulé vers un village avec le policier sur le capot avant de s’arrêter. »
Les deux hommes ont pris la fuite, mais la femme est restée dans la voiture pendant que le policier appelait des renforts. elle a été arrêtée sur les lieux.
L’avocate de la défense a plaidé pour la clémence, affirmant que sa cliente était en état d’ébriété et profondément désolée pour ses actes. Elle avait écrit une lettre d’excuses au policier et s’était engagée auprès des services de probation.
Le juge a déclaré qu’il s’agissait d’une affaire très grave et que, d’après la déclaration de la victime, il était clair que l’expérience d’avoir été transporté sur le capot, s’accrochant pour sa vie, avait eu un impact important et continu sur lui, tant physiquement que psychologiquement.
Alors qu’il était transporté sur le capot, il « se demandait comment cela finirait et s’il survivrait. Chaque jour,il vit dans la douleur : il se réveille avec la douleur,marche avec la douleur et se couche avec la douleur ».
Le juge a reconnu que c’était une décision prise en une fraction de seconde de foncer sur le policier et qu’elle n’avait pas l’intention de le blesser ce matin-là, mais elle savait qu’il était policier car il s’était identifié comme tel, ce qui était un facteur aggravant.
Il a estimé que l’infraction méritait une peine de trois ans, mais compte tenu du fait que la femme avait plaidé coupable et épargné au policier d’avoir à témoigner lors d’un procès, il a décidé de suspendre 12 mois, la laissant avec deux ans à purger.
Condamnation à deux ans de prison pour avoir transporté un policier sur le capot
Une femme de 42 ans a été condamnée à deux ans de prison pour avoir délibérément foncé sur un policier et l’avoir transporté sur plus de 200 mètres sur le capot de sa voiture. Le juge a justifié cette décision par l’impact physique et psychologique continu sur la victime.
La prévenue a plaidé coupable de mise en danger d’un policier devant le tribunal pénal de Cork. L’incident s’est produit après que le policier, hors service mais en uniforme, ait arrêté la voiture pour un contrôle. les deux hommes à bord ont agressé le policier, alors que la femme est montée dans le véhicule et a démarré. Malgré les ordres du policier de ne pas bouger, elle a foncé sur lui.
L’avocate de la défense a plaidé pour la clémence, invoquant l’état d’ébriété de sa cliente, ses remords et sa coopération. Le juge, tout en reconnaissant que l’acte était impulsif, a souligné la gravité de l’infraction et l’impact durable sur la victime.
FAQ : Questions fréquentes
Q : Quelle est la peine prononcée ?
R : Deux ans de prison.
Q : De quoi la femme a-t-elle été reconnue coupable ?
R : Avoir mis en danger un policier.
Q : Comment s’est déroulé l’incident ?
R : La femme a foncé sur le policier avec sa voiture, l’a transporté sur le capot, après une altercation après un contrôle routier où le policier a lui-même été agressé.
Q : Pourquoi le juge a-t-il prononcé cette sentence ?
R : En raison de la gravité de l’infraction et de l’impact physique et psychologique sur la victime.
Q : Qu’a fait la prévenue pour plaider pour la clémence ?
R : Elle a plaidé coupable, a écrit une lettre d’excuses et s’est engagée auprès des services de probation.
Résumé de l’affaire
| Détail de l’événement | Information |
| ——————————- | ——————————————————————————————————- |
| Personne condamnée | Femme de 42 ans |
| Chef d’accusation | Mise en danger d’un policier |
| Peine | Deux ans de prison |
| Circonstances de l’incident | Attaque contre le policier pour s’être identifié comme tel après qu’il ait arrêté la voiture et que deux hommes aient agressé le policier. |
| État de la victime | En uniforme mais hors service,affecté physiquement et psychologiquement |
| Facteur aggravant | Conscience de l’identité de policier |
| Circonstances atténuantes | Plaidoyer de culpabilité,remords,coopération |