Durant la dernière hospitalisation du Pape à la Polyclinique Gemelli pour une pneumonie polymicrobienne bilatérale, deux conférences de presse ont eu lieu. Lors de la première, le professeur Sergio Alfieri, chirurgien du Pape François, a répondu à une question sur un possible diabète du patient.
« En ce qui concerne le diabète, ce n’est pas que le Pape soit diabétique. Quand on a une infection aussi grave,il y a beaucoup d’éléments qui font que ce n’est pas seulement la glycémie pour laquelle le diabétologue a été consulté,avec le Dr Carbone,pour nous aider,comme c’est le cas pour tous les patients,à corriger la glycémie en phase d’infection. Mais le pape n’est pas diabétique ».
Le 21 avril, un texte officiel, signé par le responsable de la santé du Vatican, a révélé le contraire. Dans la “déclaration de décès de Sa Sainteté François”, le professeur Andrea Arcangeli atteste que, outre les causes immédiates du décès, le pontife était atteint d’insuffisance respiratoire aiguë, de bronchectasies multiples, d’hypertension artérielle et de diabète de type II.
L’incohérence
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Pour Alfieri, il n’y avait pas de diabète, selon Arcangeli, si.La vérité est celle signée par Arcangeli, car le médecin du Vatican citait le dossier clinique en possession du fonds de soins de santé de l’État du Vatican (fas) depuis 2013.
Le Pape François souffrait de diabète de type II, une maladie métabolique chronique caractérisée par une hyperglycémie. En plus de prendre de l’insuline régulièrement pendant de nombreuses années, le Pape était fragile et courait des risques liés à sa glycémie. Son obésité était probablement une conséquence de ce problème, difficile à contrôler en raison de son penchant pour les sucreries : glaces, beignets, biscuits, sauce caramel et les fameux biscuits au caramel argentins.
Un problème de communication
Cette affaire illustre une improvisation dans la communication du Vatican, en particulier au sein de la salle de presse de Sainte-Marthe, souvent confiée à des personnes sans contrôle institutionnel. Il s’agissait d’une communication à la première personne par le pontife, en dehors des structures en charge. Tout était décidé : interviews, anecdotes, interprétations, accusations et critiques.
Parmi les cardinaux électeurs, le thème de la communication au sein de l’Église est considéré comme fondamental. L’opacité et le manque de vérité sont à la base de règles juridiques peu fiables.
Cet aspect sera l’un des thèmes abordés avant le conclave, lorsque les cardinaux dresseront la liste des insuffisances constatées au sein du Saint-Siège durant les 12 années du pontificat de Bergoglio.
L’incident lié au diabète soulève des questions sur la santé de François, mais aussi sur les diagnostics et les traitements de ces dernières années, depuis qu’il a abandonné les thérapies d’un acupuncteur argentino-chinois pour s’en remettre à deux médecins, puis à une infirmière personnelle.
François a été élu alors qu’il était déjà diabétique, mais cela n’a été révélé qu’après sa mort. Le même paradigme peut être appliqué à de nombreux autres événements du pontificat, où une relation désinvolte avec la vérité est apparue, comme dans l’affaire de l’ancien jésuite Marko Rupnik.
Le Diabète du Pape François : Une Incohérence Révélatrice et un Problème de Interaction
Le texte révèle une contradiction concernant l’état de santé du Pape François, plus précisément sur la présence d’un diabète. Cette incohérence met en lumière des problèmes de communication au sein du Vatican et soulève des questions sur la transparence et la gestion de l’information.
L’incohérence
Lors d’une hospitalisation pour une pneumonie, le chirurgien du Pape François, le professeur Sergio Alfieri, a nié que le pontife souffrait de diabète. Cependant, le document officiel de décès, signé par le responsable de la santé du Vatican, a confirmé que le Pape était atteint de diabète de type II. Cette affirmation repose sur le dossier clinique du Pape, en possession du Vatican depuis 2013. Le Pape prenait de l’insuline régulièrement et son obésité était liée à cette condition.
Un Problème de Communication
L’affaire met en évidence une communication improvisée au Vatican, notamment au sein de la salle de presse de Sainte-Marthe. La transparence est mise en doute, et cela constitue un enjeu majeur pour les cardinaux en prévision du prochain conclave.
FAQ
Le Pape François était-il diabétique ?
Oui, selon le document officiel de décès.
Qui a initialement nié le diabète du Pape ?
Le professeur Sergio Alfieri, chirurgien du Pape.
Quelle est la cause du désaccord sur le diabète ?
Des problèmes de communication interne et de gestion des informations au Vatican.
Pourquoi cette affaire est-elle importante ?
Elle met en lumière des questions de transparence et de communication au sein du Vatican.
Qu’est-ce que le diabète de type II ?
Une maladie métabolique chronique caractérisée par une hyperglycémie.
Quelles conséquences a eu le diabète sur la santé du Pape ?
Il prenait de l’insuline et son obésité était probablement liée à cette condition.
Qu’est-ce qu’un conclave ?
Une réunion des cardinaux pour élire un nouveau pape.
Tableau Récapitulatif
| Aspect | Information | Source |
|————————————–|———————————-|——————–|
| Déclaration initiale | Pas de diabète | professeur Alfieri |
| Déclaration de décès | Diabète de type II | Vatican |
| Méthode de traitement | Insuline | Vatican |
| Conséquences | Obésité probable | Texte |
| Problème majeur | Communication interne défaillante | Texte |