the Waeve : Eternal, une EP qui confirme un talent éclectique
Rose Elinor Dougall et Graham Coxon, sous le nom de The Waeve, continuent d’affirmer leur productivité et leur constance artistique. Après un premier album éponyme en 2023, City Lights en 2024, et un album live de sessions il y a quelques mois, ils reviennent avec l’EP Eternal.
Ces trois titres, totalisant treize minutes, méritent l’attention qu’ils reçoivent en tant que promotion de la tournée britannique du duo.Le producteur James Ford (Fontaines D.C., Arctic Monkeys, The Last Dinner Party) a su sublimer le matériel, le plaçant parmi les meilleures réalisations du couple britannique. le format court de l’EP met en valeur chaque morceau.
L’ensemble est cohérent et compact, présentant The Waeve sous différentes facettes de leur art pop éclectique.
love is all Pain : un morceau dance-pop aux accents darkwave et post-punk des années 80, avec une ligne de basse marquante et une touche de saxophone. Le rythme s’accélère avec la voix de Graham, exprimant une urgence romantique.
« Never give up, you’re in love this time/ Never give up, you’re in love this time »
Ce mantra semble refléter l’énergie de the Waeve. Une section plus sombre ramène l’ouverture vers des arrangements plus rêveurs.
ItS The Hope That Kills : Une atmosphère inquiétante portée par des guitares atonales. The waeve récite un rêve fiévreux et sédatif, qui s’éclaircit dans un océan de cordes, évoquant une contemplation industrielle.
Eternal : Le titre éponyme contraste avec l’ambiance sombre générale de l’EP, s’orientant vers plus d’espoir et de lumière.
Comme si Doves revisitait Song for Eliza May, avec des cordes et des cuivres discrets, le morceau n’est pas si éloigné d’une ballade de Blur, offrant des promesses réconfortantes.
« Fear there can never be/ Enough time/ I promise you my love/ All the days we have left/ To live like they’re our last/ ‘Til my dying breath »
Même la rime ne parvient pas à rendre le romantisme kitsch.
« Now that we are bound together/ Soul and spectre/ Find the meaning of forever/ Give me a thousand lifetimes »
La quantité de musique que The Waeve* pourrait produire dans une telle période est vertigineuse. Ils appliquent ici le principe du « moins, c’est plus ».
The WAEVE : « Eternal »,un EP qui confirme leur talent éclectique
Rose Elinor Dougall et Graham Coxon,sous le nom de The WAEVE,continuent d’affirmer leur productivité et leur constance artistique. Après un premier album éponyme en 2023, City Lights en 2024, ainsi qu’un album live de sessions il y a quelques mois, ils reviennent avec l’EP Eternal.
Un EP Concis et Captivant
Cet EP de trois titres, d’une durée totale de treize minutes, mérite l’attention qu’il reçoit, servant de promotion pour leur tournée britannique. Le producteur James ford (Fontaines D.C., Arctic Monkeys, The Last Dinner Party) a sublimé le matériel, le hissant parmi les meilleures réalisations du duo britannique.Le format court de l’EP met en valeur chaque morceau.
Exploration des Facettes Artistiques de The WAEVE
L’ensemble est cohérent et compact, révélant The WAEVE sous diverses facettes de leur art pop éclectique.
Liste des Titres
love is all Pain : Morceau dance-pop avec des accents darkwave et post-punk des années 80, souligné par une ligne de basse marquante et une touche de saxophone. Le rythme s’accélère, exprimant une urgence romantique.
> « Never give up, you’re in love this time / Never give up, you’re in love this time »
Ce mantra reflète l’énergie de The WAEVE. Une section plus sombre ramène l’ouverture vers des arrangements plus rêveurs.
ItS The Hope That Kills : Ambiance inquiétante portée par des guitares atonales. The WAEVE récite un rêve fiévreux, qui s’illumine dans un océan de cordes, évoquant une contemplation industrielle.
Eternal : Le titre éponyme contraste avec l’ambiance sombre générale de l’EP,privilégiant l’espoir et la lumière.
Comme si Doves revisitait Song for Eliza May, avec des cordes et des cuivres discrets, le morceau n’est pas si éloigné d’une ballade de Blur, offrant des promesses réconfortantes.
> « Fear there can never be / Enough time / I promise you my love / All the days we have left / To live like they’re our last / ‘Til my dying breath »
Même la rime ne parvient pas à rendre le romantisme kitsch.
> « Now that we are bound together / Soul and spectre / Find the meaning of forever / Give me a thousand lifetimes »
Moins, C’est Plus
La productivité de The WAEVE est impressionnante. Ils appliquent le principe du « moins, c’est plus ».
Tableau Récapitulatif de l’EP Eternal
| Titre | Style | Particularités |
| —————– | ——————————————– | ——————————————————————————- |
| love is all Pain | Dance-pop, darkwave, post-punk | ligne de basse marquante, saxophone, urgence romantique |
| ItS The Hope That Kills | Atmosphérique, avec guitares atonales | Ambiance inquiétante, contemplations industrielles |
| Eternal* | Ballade, avec éléments de Blur et Doves | Contrastant avec l’ambiance sombre, avec de l’espoir et de la lumière, cordes et cuivres. |
FAQ
Qu’est-ce que « Eternal » ?
Un EP de The WAEVE, sorti récemment et composé de trois titres.
Qui sont The WAEVE ?
Un duo composé de Rose Elinor Dougall et Graham Coxon.
Quel est le style musical de The WAEVE ?
un art pop éclectique.
Qui a produit l’EP ?
James Ford.