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19 juillet 2025, 20h00
Tooncar : Le retour surprise d’un classique du karting qui donnait des cheveux gris !
Dans le monde effervescent du jeu vidéo, certaines pépites oubliées refont surface, suscitant la nostalgie et l’engouement. Aujourd’hui, nous nous penchons sur Tooncar, ce jeu de courses de karting en réalité augmentée qui, malgré ses défauts, a marqué une génération de joueurs. Si vous cherchez une alternative à Mario Kart, préparez-vous à redécouvrir ce titre qui, à l’époque, avait même nécessité un patch correctif pour corriger des bugs frustrants, notamment lors de sa distribution avec le magazine Click! Une histoire qui, à elle seule, mérite d’être racontée pour comprendre l’évolution du secteur et l’importance du SEO et de l’optimisation pour les moteurs de recherche comme Google Actualités afin d’assurer la pérennité du contenu, même pour des sujets rétro. Cette actualité urgente nous rappelle que le passé du jeu vidéo a encore beaucoup à offrir.
Photo source: Revistronic / Lifeline
Les courses de karts ont toujours occupé une place de choix dans le cœur des joueurs. Si la série Mario Kart règne en maître incontesté, de nombreux développeurs ont tenté de s’arroser d’une part de ce marché florissant. En août 2001, Revistronic et Lifeline se sont lancés dans cette aventure avec Tooncar, un titre qui, aux dires de certains, a donné du fil à retordre à plus d’un adolescent, y compris à notre rédacteur à l’époque.
Une version “complète” qui posait problème
Au début des années 2000, les magazines spécialisés étaient une source précieuse de jeux, offrant parfois des versions complètes, fonctionnelles et sans virus. Cependant, comme le montrent les archives d’octobre 2002, cette promesse n’était pas toujours tenue. Un numéro du magazine Click! incluait une version complète de Tooncar. Le plaisir escompté fut de courte durée pour de nombreux jeunes joueurs, dont l’auteur de ces lignes, qui se retrouvèrent face à un message d’erreur leur demandant d’insérer le disque, alors même qu’il était déjà dans le lecteur.
Après une réinstallation infructueuse, le recours à un technicien informatique, venu pour une imprimante, tourna à la séance de rattrapage vidéoludique. Face au disque de Tooncar, le verdict fut sans appel : “Ah, c’est un jeu de journaux, je ne peux rien faire ici.” Une réponse sibylline qui laissa planer le doute sur les intentions du technicien, peut-être prêt à appliquer un “crack” universel ou des modifications sur les fichiers du jeu. Une anecdote qui illustre les défis techniques de l’époque et l’ingéniosité, parfois douteuse, des solutions alternatives.
Un mois plus tard, le magazine Click! présenta ses excuses et proposa un patch correctif, permettant enfin aux joueurs de profiter des courses effrénées de Tooncar.

Tooncar. Source : Pas de commentaires de jeux de jeux / YouTube.
Diversité esthétique, mais manque d’originalité dans le gameplay
Tooncar proposait une galerie de personnages variés – Mafioso, Inuit, Cowboy, Sumo, Mexicain – évoluant dans des décors tout aussi diversifiés, allant du désert lunaire aux paysages urbains. Malheureusement, cette richesse visuelle ne se traduisait pas par des capacités uniques pour chaque pilote, uniformisant l’expérience de jeu.
Des courses rythmées et des power-ups stratégiques
Sur la piste, Tooncar offrait une expérience de course typiquement arcade, rythmée et exigeante en réflexes. L’utilisation judicieuse des power-ups disséminés sur les circuits – mines, roquettes, grenades, propulseurs – était cruciale pour prendre l’avantage, transformant chaque course en une bataille tactique.

Tooncar. Source : Pas de commentaires de jeux de jeux / YouTube.
Un mode “permis” qui donnait le vertige
Un élément distinctif de Tooncar, et source de bien des frustrations, était son mode “permis”. Ce défi chronométré, qui demandait de franchir des bornes et de percuter des cibles, s’avérait particulièrement ardu. Le troisième permis, en particulier, a laissé des souvenirs impérissables et des “cheveux gris” chez certains joueurs, à l’instar de Rayman 2: The Great Escape et son boss final. Une difficulté qui a forgé le caractère de ce jeu.

Tooncar. Source : Pas de commentaires de jeux de jeux / YouTube.
Comment jouer à Tooncar aujourd’hui ?
Au-delà de sa campagne solo, Tooncar propose un mode multijoueur en écran partagé qui peut encore procurer du plaisir. Bien qu’absent des plateformes numériques actuelles comme GOG.com ou Steam, des copies d’occasion se trouvent aux alentours de 20 PLN, variant selon les éditions. Il faut cependant noter que, comparé aux standards graphiques actuels, Tooncar peut sembler daté. Néanmoins, la présence d’une version entièrement en polonais reste un atout non négligeable, témoignant de l’effort de localisation de l’époque.
L’histoire de Tooncar, entre problèmes techniques, magazine Click! et un gameplay qui défiait les joueurs, est un témoignage de l’évolution de l’industrie du jeu vidéo. Pour rester informé des dernières actualités et redécouvrir des classiques, n’oubliez pas de consulter régulièrement nouvelles-du-monde.com. Vos clics et partages contribuent à la pérennité de ce contenu, et nous permettent de continuer à vous proposer des analyses pertinentes, optimisées pour une visibilité maximale sur les moteurs de recherche.